Commonwealth : le dopage inquiète
Amateurs mardi, 7 sept. 2010. 12:23 samedi, 23 nov. 2024. 17:23
NEW DELHI- L'usage répandu d'une substance dopante interdite étonne les dirigeants de certaines fédérations sportives indiennes à l'approche des Jeux du Commonwealth.
La méthylhexaneamine, un stimulant qu'on a commencé à interdire il y a quelques mois, a été décelée dans les échantillons d'urine de plusieurs athlètes indiens qui pratiquent la lutte, la natation et l'athlétisme.
La semaine dernière, des tests antidopage effectués sur 11 individus ont montré la présence de cette substance. Sept de ces athlètes avaient été sélectionnés en vue des Jeux du Commonwealth, qui seront disputés le mois prochain à New Delhi, en Inde.
"C'est un choc pour nous tous et j'ai l'impression que les athlètes ont d prendre ces substances sans le savoir, a déclaré l'entraîneur de l'équipe nationale de lutte, Jagminder Singh, mardi. Nos lutteurs ont été testés régulièrement et ont été renseignés sur les nouvelles substances interdites, alors ceci n'aurait jamais dû arriver."
Le Dr P.S.M. Chandran, qui travaille au sein de l'Agence nationale antidopage, a reconnu qu'il est rare que des athlètes de différents sports utilisent la même substance interdite.
"Il est possible qu'ils utilisaient cet agent depuis un certain temps, mais qu'ils n'aient pas réalisé que c'était maintenant interdit, a avancé Chandran. Ce n'est pas une drogue dure et on peut même en trouver des traces dans des huiles de friture."
La méthylhexaneamine, un stimulant qu'on a commencé à interdire il y a quelques mois, a été décelée dans les échantillons d'urine de plusieurs athlètes indiens qui pratiquent la lutte, la natation et l'athlétisme.
La semaine dernière, des tests antidopage effectués sur 11 individus ont montré la présence de cette substance. Sept de ces athlètes avaient été sélectionnés en vue des Jeux du Commonwealth, qui seront disputés le mois prochain à New Delhi, en Inde.
"C'est un choc pour nous tous et j'ai l'impression que les athlètes ont d prendre ces substances sans le savoir, a déclaré l'entraîneur de l'équipe nationale de lutte, Jagminder Singh, mardi. Nos lutteurs ont été testés régulièrement et ont été renseignés sur les nouvelles substances interdites, alors ceci n'aurait jamais dû arriver."
Le Dr P.S.M. Chandran, qui travaille au sein de l'Agence nationale antidopage, a reconnu qu'il est rare que des athlètes de différents sports utilisent la même substance interdite.
"Il est possible qu'ils utilisaient cet agent depuis un certain temps, mais qu'ils n'aient pas réalisé que c'était maintenant interdit, a avancé Chandran. Ce n'est pas une drogue dure et on peut même en trouver des traces dans des huiles de friture."