Il faut que les vétérans partagent leur expérience
Baseball samedi, 10 août 2002. 21:03 dimanche, 5 janv. 2025. 15:37
(ESPN.com)- Quand j'étais une recrue avec les Astros de Houston en 1965, six vétérans de l'équipe et un instructeur m'ont pris sous leur aile et ils m'ont transmis leurs très grandes connaissances. L'expérience de ces sept personnes totalisait plus de cent saisons dans les ligues majeures de baseball.
Les six vétérans étaient Lee Maye, Walt Bond, Joe Gaines, Eddie Kasko, Bob Lillis et Nellie Fox. Ce dernier était une de mes idoles. Howie Pollet était l'instructeur des lanceurs des Astros à l'époque.
J'ai souvent répété que j'avais plus appris au cours de ma première saison que plusieurs joueurs à leurs cinq premières campagnes et tout cela en raison de l'engagement de ces hommes à m'inculquer leur amour du baseball. Je me suis souvenu de cette période de ma vie lorsque j'ai vu, lors de la diffusion d'un match sur les ondes d'ESPN, Tom Glavine, vétéran des Braves d'Atlanta, qui partageait son expérience avec le jeune lanceur Damian Moss.
Fox m'a déjà demandé, "où se trouvait le joueur de deuxième but?. Maye lui me demandait, "où étaient placés les voltigeurs?". Gaines pour sa part me questionnait à savoir, "quelle avance le coureur avait-il au premier but?". Pour sa part, Kasko m'interrogeait sur le lanceur en fonction en me demandant, "lance-t-il plus de courbes que des rapides?"
Ces joueurs m'ont enseigné à regarder les lanceurs adverses et à les observer afin de savoir quel type de tir il effectuait à nos joueurs. Ils voulaient être certains que je portais attention au déroulement du match. C'est ainsi que j'ai appris à regarder les lanceurs, à observer les coureurs, à m'assurer de la position des voltigeurs et de tous les aspects du jeu.
Quand je me trompais sur une réponse, ils ne cessaient de me dire de regarder la partie avec attention et ils se demandaient bien comment je pouvais me tromper sur les situations de jeu, si je regardais la rencontre.
Quant à Pollet qui était responsable de nos lanceurs, il m'a enseigné sur l'art de frapper plus que n'importe quel instructeur des frappeurs avant que je ne rencontre Ted Kluszewski à Cincinnati. Quand j'étais une verte recrue, Pollet venait s'asseoir près de moi dans l'abri et m'expliquait quel tir regarder dans telle ou telle situation. Après une présence au bâton, il venait m'apprendre comment anticiper les lancers pour ma présence suivante. À toutes les fois que j'allais frapper, je cherchais à m'élancer sur les tirs que je recherchais.
Je dois bien avouer que mes conversations avec Pollet et avec les vétérans de l'équipe ont joué un grand rôle dans les succès que j'ai connus à ma première saison. Ils ont tous pris de leur temps pour m'enseigner les rudiments du baseball. J'ai connu des ennuis au début de la saison 1965 mais après un mois, leur enseignement m'est revenu en mémoire et j'ai compris ce qu'il fallait faire pour être un joueur des ligues majeures.
Les six vétérans étaient Lee Maye, Walt Bond, Joe Gaines, Eddie Kasko, Bob Lillis et Nellie Fox. Ce dernier était une de mes idoles. Howie Pollet était l'instructeur des lanceurs des Astros à l'époque.
J'ai souvent répété que j'avais plus appris au cours de ma première saison que plusieurs joueurs à leurs cinq premières campagnes et tout cela en raison de l'engagement de ces hommes à m'inculquer leur amour du baseball. Je me suis souvenu de cette période de ma vie lorsque j'ai vu, lors de la diffusion d'un match sur les ondes d'ESPN, Tom Glavine, vétéran des Braves d'Atlanta, qui partageait son expérience avec le jeune lanceur Damian Moss.
Fox m'a déjà demandé, "où se trouvait le joueur de deuxième but?. Maye lui me demandait, "où étaient placés les voltigeurs?". Gaines pour sa part me questionnait à savoir, "quelle avance le coureur avait-il au premier but?". Pour sa part, Kasko m'interrogeait sur le lanceur en fonction en me demandant, "lance-t-il plus de courbes que des rapides?"
Ces joueurs m'ont enseigné à regarder les lanceurs adverses et à les observer afin de savoir quel type de tir il effectuait à nos joueurs. Ils voulaient être certains que je portais attention au déroulement du match. C'est ainsi que j'ai appris à regarder les lanceurs, à observer les coureurs, à m'assurer de la position des voltigeurs et de tous les aspects du jeu.
Quand je me trompais sur une réponse, ils ne cessaient de me dire de regarder la partie avec attention et ils se demandaient bien comment je pouvais me tromper sur les situations de jeu, si je regardais la rencontre.
Quant à Pollet qui était responsable de nos lanceurs, il m'a enseigné sur l'art de frapper plus que n'importe quel instructeur des frappeurs avant que je ne rencontre Ted Kluszewski à Cincinnati. Quand j'étais une verte recrue, Pollet venait s'asseoir près de moi dans l'abri et m'expliquait quel tir regarder dans telle ou telle situation. Après une présence au bâton, il venait m'apprendre comment anticiper les lancers pour ma présence suivante. À toutes les fois que j'allais frapper, je cherchais à m'élancer sur les tirs que je recherchais.
Je dois bien avouer que mes conversations avec Pollet et avec les vétérans de l'équipe ont joué un grand rôle dans les succès que j'ai connus à ma première saison. Ils ont tous pris de leur temps pour m'enseigner les rudiments du baseball. J'ai connu des ennuis au début de la saison 1965 mais après un mois, leur enseignement m'est revenu en mémoire et j'ai compris ce qu'il fallait faire pour être un joueur des ligues majeures.