Alex Kovalev reste prudent
Hockey mercredi, 3 janv. 2007. 19:45 dimanche, 24 nov. 2024. 06:14
MONTRÉAL (PC) - Partisans du Canadien, ne partez pas en peur parce que le deuxième trio a finalement débloqué, mardi, en contribuant deux buts à égalité numérique dans la victoire de 5-2 face au Lightning de Tampa Bay. La mise en garde vient de la bouche de l'attaquant Alex Kovalev, qui a pris soin de rappeler mercredi «qu'un match ne fait pas un trio».
«Ça ne veut pas dire qu'on a trouvé la solution aux problèmes qu'on a, a déclaré le Russe, amusé par les questions de la presse. Ce n'est qu'un match. Attendez qu'on en connaisse quatre ou cinq semblables d'affilée avant de vous emballer.»
L'aspect positif, en attendant, c'est que les coéquipiers de Kovalev, Tomas Plekanec et Sergei Samsonov, ont finalement mis à profit le conseil qu'il leur martelait depuis que l'entraîneur Guy Carbonneau les utilise ensemble.
«Gardez les choses simples. C'est ce que je leur répète depuis le début. Ils ne m'avaient pas écouté jusqu'à mardi, je crois bien. C'est ce que je leur ai dit après le match : Je n'étais pas sûr, mais je réalise maintenant que vous ne m'écoutez pas», a relaté Kovalev, avec le sourire aux lèvres.
Kovalev a souligné que le message tout simple qu'il livre à ses coéquipiers est le même que celui que Mario Lemieux lui répétait inlassablement.
«Mario disait toujours d'aller dans les coins récupérer la rondelle et de l'envoyer devant le filet parce qu'on ne sait jamais ce qui peut se produire. La rondelle peut être déviée dans le but ou se retrouver sur la lame du bâton d'un coéquipier. On ne marquera pas à tout coup, mais on va créer des occasions.»
Le talentueux patineur de Togliatti a également souligné l'importance d'une meilleure communication au sein de l'unité. Il a rappelé qu'à l'époque où il évoluait chez les Penguins, la communication était excellente entre Robert Lang, Martin Straka et lui. Le trio était un des plus redoutables de la LNH.
«On essayait toujours d'apporter des ajustements quand ça ne fonctionnait pas. Après chaque période, on jasait ensemble afin d'apporter des améliorations à notre jeu. On visait d'être le meilleur trio de la ligue. J'essaie de faire la même chose ici, d'amener des suggestions qui feraient de nous un meilleur trio. C'est à mes coéquipiers d'accepter ou non les idées que j'avance.»
De toute évidence, Kovalev a fait son parti d'évoluer en compagnie de Plekanec et de Samsonov.
«Avec quels autres joueurs pourrait-on m'utiliser ?, a-t-il demandé, quand on lui a parlé de la patience de Carbonneau à leur endroit. Les possibilités ne sont pas nombreuses», a-t-il ajouté.
Cela dit, il souhaite que le déclic se fasse, qu'une belle cohésion s'installe, entre les trois.
«La situation a été frustrante dernièrement, mais je ne suis pas le type de gars qui va abandonner. Je fais les efforts pour que ça fonctionne entre nous. Je veux qu'on contribue davantage aux succès de l'équipe. Le hockey est un sport collectif. On ne peut pas tout faire seul.»
«Ça ne veut pas dire qu'on a trouvé la solution aux problèmes qu'on a, a déclaré le Russe, amusé par les questions de la presse. Ce n'est qu'un match. Attendez qu'on en connaisse quatre ou cinq semblables d'affilée avant de vous emballer.»
L'aspect positif, en attendant, c'est que les coéquipiers de Kovalev, Tomas Plekanec et Sergei Samsonov, ont finalement mis à profit le conseil qu'il leur martelait depuis que l'entraîneur Guy Carbonneau les utilise ensemble.
«Gardez les choses simples. C'est ce que je leur répète depuis le début. Ils ne m'avaient pas écouté jusqu'à mardi, je crois bien. C'est ce que je leur ai dit après le match : Je n'étais pas sûr, mais je réalise maintenant que vous ne m'écoutez pas», a relaté Kovalev, avec le sourire aux lèvres.
Kovalev a souligné que le message tout simple qu'il livre à ses coéquipiers est le même que celui que Mario Lemieux lui répétait inlassablement.
«Mario disait toujours d'aller dans les coins récupérer la rondelle et de l'envoyer devant le filet parce qu'on ne sait jamais ce qui peut se produire. La rondelle peut être déviée dans le but ou se retrouver sur la lame du bâton d'un coéquipier. On ne marquera pas à tout coup, mais on va créer des occasions.»
Le talentueux patineur de Togliatti a également souligné l'importance d'une meilleure communication au sein de l'unité. Il a rappelé qu'à l'époque où il évoluait chez les Penguins, la communication était excellente entre Robert Lang, Martin Straka et lui. Le trio était un des plus redoutables de la LNH.
«On essayait toujours d'apporter des ajustements quand ça ne fonctionnait pas. Après chaque période, on jasait ensemble afin d'apporter des améliorations à notre jeu. On visait d'être le meilleur trio de la ligue. J'essaie de faire la même chose ici, d'amener des suggestions qui feraient de nous un meilleur trio. C'est à mes coéquipiers d'accepter ou non les idées que j'avance.»
De toute évidence, Kovalev a fait son parti d'évoluer en compagnie de Plekanec et de Samsonov.
«Avec quels autres joueurs pourrait-on m'utiliser ?, a-t-il demandé, quand on lui a parlé de la patience de Carbonneau à leur endroit. Les possibilités ne sont pas nombreuses», a-t-il ajouté.
Cela dit, il souhaite que le déclic se fasse, qu'une belle cohésion s'installe, entre les trois.
«La situation a été frustrante dernièrement, mais je ne suis pas le type de gars qui va abandonner. Je fais les efforts pour que ça fonctionne entre nous. Je veux qu'on contribue davantage aux succès de l'équipe. Le hockey est un sport collectif. On ne peut pas tout faire seul.»