Boivin règle ses comptes
Montréal Canadiens samedi, 8 sept. 2007. 14:16 dimanche, 22 déc. 2024. 00:37
Le président du Canadien de Montréal, Pierre Boivin, a volé la vedette lors de la première journée du camp d'entraînement des recrues qui se tenait samedi matin au Centre Bell.
Visiblement irrité par un article du journal La Presse qui a été publié vendredi, Boivin a tenu à faire le point afin de se porter à la défense de l'entourage de Daniel Brière et de Bob Gainey.
« En aucun temps, dans les conversations avec Bob Gainey, Guy Carbonneau et moi-même - Julien BriseBois qui a assisté à toutes les conversations peu en témoigner - il n'a été question d'exiger de jouer avec un joueur en particulier », a déclaré le président du Canadien.
Et pour Boivin, pas de doute que Brière aurait été traité comme un joueur de premier plan s'il s'était amené à Montréal.
« Lorsqu'une organisation se décide à débourser le plus haut montant de son histoire, l'athlète n'a pas à se faire de souci », a ajouté Boivin.
« Cela fait deux mois que l'on continue de parler de Daniel Brière à Montréal. C'est un manque de respect pour Daniel et pour l'organisation. »
Boivin a conclu son point de presse en avouant que le Canadien était toujours déçu de ne pas avoir réussi à mettre la main sur le joueur québécois, mais qu'il respectait sa décision.
Visiblement irrité par un article du journal La Presse qui a été publié vendredi, Boivin a tenu à faire le point afin de se porter à la défense de l'entourage de Daniel Brière et de Bob Gainey.
« En aucun temps, dans les conversations avec Bob Gainey, Guy Carbonneau et moi-même - Julien BriseBois qui a assisté à toutes les conversations peu en témoigner - il n'a été question d'exiger de jouer avec un joueur en particulier », a déclaré le président du Canadien.
Et pour Boivin, pas de doute que Brière aurait été traité comme un joueur de premier plan s'il s'était amené à Montréal.
« Lorsqu'une organisation se décide à débourser le plus haut montant de son histoire, l'athlète n'a pas à se faire de souci », a ajouté Boivin.
« Cela fait deux mois que l'on continue de parler de Daniel Brière à Montréal. C'est un manque de respect pour Daniel et pour l'organisation. »
Boivin a conclu son point de presse en avouant que le Canadien était toujours déçu de ne pas avoir réussi à mettre la main sur le joueur québécois, mais qu'il respectait sa décision.