La belle histoire des Latendresse
Hockey lundi, 3 mars 2008. 21:43 dimanche, 24 nov. 2024. 06:37
Par Renaud Lavoie - Guillaume et Olivier Latendresse connaissent beaucoup de succès au niveau professionnel eux qui ont passé leur enfance à jouer au hockey ensemble. Le talent des deux joueurs n'a jamais fait aucun doute et dès leur jeune âge, on savait qu'il fallait les surveiller.
"Ils ont commencé à jouer pour le plaisir, Guillaume est 15 mois plus jeune que Olivier donc je les amenait au parc et on a fait une patinoire dans la cour arrière. Olivier a commencé à patiner et Guillaume a suivi immédiatement. Ils ont fait un peu de soccer, mais le hockey était leur sport. Ils faisaient les écoles de hockey l'été, on s'est promené un peu aux États-Unis. On a eu beaucoup de plaisir", affirme Alain Latendresse.
Le grand frère Olivier a évidemment pavé la voie à son frère. Mais le plus beau cadeau de la famille est survenu lorsque Guillaume avait 14 ans, soit lorsqu'il a fait le saut du pee-wee, directement au midget AAA.
"Guillaume a toujours été grand et gros pour son âge. Il jouait pee-wee et il mesurait 6 pieds 1. Le déclic s'est fait alors qu'il avait 14 ans et qu'il jouait dans le midget AAA. Il a fait deux années dans le pee-wee er et il a sauté directement au midget AAA. À 14 ans, il jouait avec son frère et il a fait 48 points, c'est à ce moment qu'il a réalisé qu'il pouvait aller loin."
"Sans jouer bantam, je savais que ce serait difficile, mais je suis me suis bien adapté. Ça m'a beaucoup aidé de jouer avec mon frère. On avait de bons entraîneurs qui m'ont soutenu et qui ont travaillé fort avec moi", explique Guillaume
La famille Latendresse a toujours été reconnue pour son amour du hockey. Et pas question de mettre une pression inutile sur les enfants.
"Au hockey, il faut encourager les jeunes, aller voir leurs pratiques. Je me rappellerai toujours, un jour j'ai rencontré le père de Mario Lemieux et je lui ai posé des questions. Il m'a dit que le jour où l'enfant se lève et dit ah non pas une pratique aujourd'hui, tu lui diras que c'est la fin", confie Alain Latendresse
"C'est rare qu'un joueur se rend au niveau professionnel, mais quand tu réussi comme j'ai eu la chance de le faire, tu remarques l'importance d'avoir une bonne famille. Certains joueurs subissent la pression de leurs parents. J'ai été chanceux, mes parents me disaient: c'est ta décision, tu joues si tu veux et on va toujours être là pour te soutenir dans tes décisions. Ça m'a beaucoup aidé", de dire Guillaume.
Maintenant le prochain cadeau pour Alain Latendresse sera de voir ses deux fils jouer ensemble dans la ligue nationale. Olivier étant maintenant dans l'organisation du Canadien, l'objectif pourrait être atteint dès la saison prochaine.
"Ils ont commencé à jouer pour le plaisir, Guillaume est 15 mois plus jeune que Olivier donc je les amenait au parc et on a fait une patinoire dans la cour arrière. Olivier a commencé à patiner et Guillaume a suivi immédiatement. Ils ont fait un peu de soccer, mais le hockey était leur sport. Ils faisaient les écoles de hockey l'été, on s'est promené un peu aux États-Unis. On a eu beaucoup de plaisir", affirme Alain Latendresse.
Le grand frère Olivier a évidemment pavé la voie à son frère. Mais le plus beau cadeau de la famille est survenu lorsque Guillaume avait 14 ans, soit lorsqu'il a fait le saut du pee-wee, directement au midget AAA.
"Guillaume a toujours été grand et gros pour son âge. Il jouait pee-wee et il mesurait 6 pieds 1. Le déclic s'est fait alors qu'il avait 14 ans et qu'il jouait dans le midget AAA. Il a fait deux années dans le pee-wee er et il a sauté directement au midget AAA. À 14 ans, il jouait avec son frère et il a fait 48 points, c'est à ce moment qu'il a réalisé qu'il pouvait aller loin."
"Sans jouer bantam, je savais que ce serait difficile, mais je suis me suis bien adapté. Ça m'a beaucoup aidé de jouer avec mon frère. On avait de bons entraîneurs qui m'ont soutenu et qui ont travaillé fort avec moi", explique Guillaume
La famille Latendresse a toujours été reconnue pour son amour du hockey. Et pas question de mettre une pression inutile sur les enfants.
"Au hockey, il faut encourager les jeunes, aller voir leurs pratiques. Je me rappellerai toujours, un jour j'ai rencontré le père de Mario Lemieux et je lui ai posé des questions. Il m'a dit que le jour où l'enfant se lève et dit ah non pas une pratique aujourd'hui, tu lui diras que c'est la fin", confie Alain Latendresse
"C'est rare qu'un joueur se rend au niveau professionnel, mais quand tu réussi comme j'ai eu la chance de le faire, tu remarques l'importance d'avoir une bonne famille. Certains joueurs subissent la pression de leurs parents. J'ai été chanceux, mes parents me disaient: c'est ta décision, tu joues si tu veux et on va toujours être là pour te soutenir dans tes décisions. Ça m'a beaucoup aidé", de dire Guillaume.
Maintenant le prochain cadeau pour Alain Latendresse sera de voir ses deux fils jouer ensemble dans la ligue nationale. Olivier étant maintenant dans l'organisation du Canadien, l'objectif pourrait être atteint dès la saison prochaine.