Cammalleri: chaque chose en son temps
Hockey jeudi, 18 mars 2010. 11:09 samedi, 21 déc. 2024. 20:11
BROSSARD - Michael Cammalleri, qui se remet d'une blessure à un genou subie il y a sept semaines, souhaite obtenir le feu vert pour recommencer à patiner avec l'équipe dès vendredi.
"Je n'accuse aucun retard, ma période de récupération se déroule normalement, a assuré Cammalleri. Ce n'est pas qu'on prend davantage le temps parce que l'équipe va très bien. Ça n'a rien à voir. C'est plutôt qu'on ne sait jamais combien de temps peut mettre une blessure à guérir. C'est un peu plus long que je l'aurais voulu, mais ça se passe bien."
Contrairement à Marc-André Bergeron, qui ne s'attendait pas à ce que l'équipe s'enflamme après les JO, Cammalleri s'est dit aucunement surpris des succès de ses coéquipiers.
"Depuis mon arrivée ici, j'ai confiance au groupe de joueurs qu'on a rassemblés. C'est la principale raison pour laquelle j'ai accepté l'offre du Canadien, l'été dernier. Je croyais au potentiel de l'équipe. J'estimais qu'elle pouvait se rendre loin. Je le pense encore."
Cammalleri, qui est le meilleur buteur du CH (26) même s'il a raté 16 rencontres, a dit que c'était une question de temps avant que ça débloque. On n'apporte pas plusieurs changements, tant chez le personnel de joueurs que d'entraîneurs sans qu'il y ait une période d'adaptation.
"Tout était nouveau pour tout le monde, les joueurs et les entraîneurs. L'entente est bien meilleure entre tous et chacun."
Le vétéran défenseur Jaroslav Spacek a corroboré les propos de son coéquipier, en affirmant que chacun comprend mieux son rôle, ainsi que les attentes à leur endroit.
"Nous nous soutenons beaucoup mieux sur la glace que nous le faisions en début de saison, a-t-il argué. On peut le constater parce que les passes sont courtes. Tout est tombé en placé: les duos de défenseurs, les trios, les gardiens. Tout le monde y met l'effort et, surtout, nous marquons plus de buts - trois, quatre, cinq par match - qu'en début de saison."
Sur le plan personnel, le vétéran Spacek a dû s'accoutumer à jouer du côté droit - une première pour lui en une dizaine de saisons dans la LNH.
"Ça n'a pas été évident. La plupart du temps, vous devez manier la rondelle ou effectuer des jeux du revers. J'ai essayé de simplifier les choses, ce que je ne faisais pas nécessairement en début de saison."
Bergeron est rempli d'espoir
Tel que prévu, il y avait un "petit nouveau" sur la glace à l'entraînement du Canadien : Bergeron, de retour avec ses coéquipiers après une absence six semaines en raison d'une blessure à un genou.
"Ç'a été plaisant de retrouver les gars dans le vestiaire. Ils m'ont apporté de l'enthousiasme. Les dernières semaines n'ont pas été faciles, surtout les deux dernières parce que j'ai travaillé très fort pour retrouver la forme. Je suis prêt à entreprendre le dernier droit de la saison. La motivation ne manque pas."
Ne fermant pas la porte à un éventuel retour dès samedi à Toronto, Bergeron a précisé ne pas savoir à quel moment il obtiendra le feu vert des médecins. Il a admis que le brio de l'équipe fait en sorte qu'on peut prendre tout le temps nécessaire.
Utilisé surtout comme attaquant à égalité numérique et comme défenseur lors des jeux de puissance, Bergeron a dit espérer qu'on le réintégrera dans la formation comme défenseur.
"Je suis avant tout un défenseur, je suis plus efficace à cette position, mais je n'ai aucun problème avec ça si on juge que je peux être utile à l'attaque."
L'entraîneur Jacques Martin mise sur les mêmes trois duos de défenseurs depuis la pause olympique.
Du répit pour Plekanec
Tomas Plekanec n'a pris part qu'à la séance de photo, avant de retraiter au vestiaire avant le début de la séance d'entraînement. Le Tchèque est incommodé par une légère blessure, qui ne l'a pas empêché d'affronter les Rangers de New York, mardi.
Le jeune Ben Maxwell a pivoté l'unité de Plekanec, entre Andrei Kostitsyn et Tom Pyatt.
Le défenseur réserviste Paul Mara, qui est laissé de côté depuis plusieurs matchs, a également profité d'une journée de thérapie, a-t-on indiqué.
"Je n'accuse aucun retard, ma période de récupération se déroule normalement, a assuré Cammalleri. Ce n'est pas qu'on prend davantage le temps parce que l'équipe va très bien. Ça n'a rien à voir. C'est plutôt qu'on ne sait jamais combien de temps peut mettre une blessure à guérir. C'est un peu plus long que je l'aurais voulu, mais ça se passe bien."
Contrairement à Marc-André Bergeron, qui ne s'attendait pas à ce que l'équipe s'enflamme après les JO, Cammalleri s'est dit aucunement surpris des succès de ses coéquipiers.
"Depuis mon arrivée ici, j'ai confiance au groupe de joueurs qu'on a rassemblés. C'est la principale raison pour laquelle j'ai accepté l'offre du Canadien, l'été dernier. Je croyais au potentiel de l'équipe. J'estimais qu'elle pouvait se rendre loin. Je le pense encore."
Cammalleri, qui est le meilleur buteur du CH (26) même s'il a raté 16 rencontres, a dit que c'était une question de temps avant que ça débloque. On n'apporte pas plusieurs changements, tant chez le personnel de joueurs que d'entraîneurs sans qu'il y ait une période d'adaptation.
"Tout était nouveau pour tout le monde, les joueurs et les entraîneurs. L'entente est bien meilleure entre tous et chacun."
Le vétéran défenseur Jaroslav Spacek a corroboré les propos de son coéquipier, en affirmant que chacun comprend mieux son rôle, ainsi que les attentes à leur endroit.
"Nous nous soutenons beaucoup mieux sur la glace que nous le faisions en début de saison, a-t-il argué. On peut le constater parce que les passes sont courtes. Tout est tombé en placé: les duos de défenseurs, les trios, les gardiens. Tout le monde y met l'effort et, surtout, nous marquons plus de buts - trois, quatre, cinq par match - qu'en début de saison."
Sur le plan personnel, le vétéran Spacek a dû s'accoutumer à jouer du côté droit - une première pour lui en une dizaine de saisons dans la LNH.
"Ça n'a pas été évident. La plupart du temps, vous devez manier la rondelle ou effectuer des jeux du revers. J'ai essayé de simplifier les choses, ce que je ne faisais pas nécessairement en début de saison."
Bergeron est rempli d'espoir
Tel que prévu, il y avait un "petit nouveau" sur la glace à l'entraînement du Canadien : Bergeron, de retour avec ses coéquipiers après une absence six semaines en raison d'une blessure à un genou.
"Ç'a été plaisant de retrouver les gars dans le vestiaire. Ils m'ont apporté de l'enthousiasme. Les dernières semaines n'ont pas été faciles, surtout les deux dernières parce que j'ai travaillé très fort pour retrouver la forme. Je suis prêt à entreprendre le dernier droit de la saison. La motivation ne manque pas."
Ne fermant pas la porte à un éventuel retour dès samedi à Toronto, Bergeron a précisé ne pas savoir à quel moment il obtiendra le feu vert des médecins. Il a admis que le brio de l'équipe fait en sorte qu'on peut prendre tout le temps nécessaire.
Utilisé surtout comme attaquant à égalité numérique et comme défenseur lors des jeux de puissance, Bergeron a dit espérer qu'on le réintégrera dans la formation comme défenseur.
"Je suis avant tout un défenseur, je suis plus efficace à cette position, mais je n'ai aucun problème avec ça si on juge que je peux être utile à l'attaque."
L'entraîneur Jacques Martin mise sur les mêmes trois duos de défenseurs depuis la pause olympique.
Du répit pour Plekanec
Tomas Plekanec n'a pris part qu'à la séance de photo, avant de retraiter au vestiaire avant le début de la séance d'entraînement. Le Tchèque est incommodé par une légère blessure, qui ne l'a pas empêché d'affronter les Rangers de New York, mardi.
Le jeune Ben Maxwell a pivoté l'unité de Plekanec, entre Andrei Kostitsyn et Tom Pyatt.
Le défenseur réserviste Paul Mara, qui est laissé de côté depuis plusieurs matchs, a également profité d'une journée de thérapie, a-t-on indiqué.