Le dossier Chara-Pacioretty est clos
Hockey jeudi, 17 nov. 2011. 13:01 lundi, 25 nov. 2024. 14:47
QUÉBEC - Il n'y aura finalement aucune poursuite criminelle intentée contre le capitaine des Bruins de Boston Zdeno Chara à la suite de sa violente mise en échec appliquée à l'endroit de Max Pacioretty, du Canadien de Montréal, le 8 mars dernier au Centre Bell.
Le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) a fait part de sa décision jeudi, par voie de communiqué, sans fournir davantage de détails.
«Après avoir examiné attentivement tous les renseignements qui lui ont été soumis concernant cette affaire, le DPCP n'est pas raisonnablement convaincu de pouvoir établir la culpabilité du prévenu», peut-on lire.
Cette décision n'a pas semblé susciter un tollé de réactions. Très peu de gens ont réagi dans les réseaux sociaux.
Le 8 mars, Chara avait envoyé l'attaquant du Tricolore contre le montant de la baie vitrée et lui avait fracturé une vertèbre. Chara avait écopé d'une inconduite de match, mais il n'a pas fait l'objet d'autres sanctions.
Devant le tollé des amateurs, le DPCP a ordonné une enquête sur la mise en échec, mais des juristes ont qualifié de très improbables les chances de voir des accusations portées contre Chara.
Après l'incident, Pacioretty avait dénoncé la décision de la Ligue nationale de hockey (LNH) de ne pas suspendre le défenseur format géant, mais ne voyait pas l'utilité du déclenchement d'une enquête policière.
La police a conclu son enquête au mois d'août, après avoir rencontré plusieurs témoins, dont Chara. La conquête de la coupe Stanley par les Bruins a notamment retardé le travail des policiers du Service de police de la ville de Montréal.
Cette mise en échec avait profondément marqué Pacioretty, qui a failli voir sa prometteuse carrière prendre fin de façon abrupte. L'attaquant a subi une sévère commotion cérébrale, en plus d'une blessure cervicale, et avait raté le reste de la saison régulière ainsi que les séries éliminatoires du printemps 2011.
Le joueur du Canadien, qui s'était récemment fait avare de commentaires dans ce dossier, a brièvement fait référence à l'incident plus tôt ce mois-ci en lançant une fondation à Montréal. Il avait alors fait allusion à la qualité du personnel de l'Hôpital général de Montréal qui l'avait pris en charge à la suite de l'incident impliquant Chara.
«J'ai reçu d'excellents soins à l'Hôpital général. Je me considère choyé d'avoir pu complètement recouvrer la santé.»
Le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) a fait part de sa décision jeudi, par voie de communiqué, sans fournir davantage de détails.
«Après avoir examiné attentivement tous les renseignements qui lui ont été soumis concernant cette affaire, le DPCP n'est pas raisonnablement convaincu de pouvoir établir la culpabilité du prévenu», peut-on lire.
Cette décision n'a pas semblé susciter un tollé de réactions. Très peu de gens ont réagi dans les réseaux sociaux.
Le 8 mars, Chara avait envoyé l'attaquant du Tricolore contre le montant de la baie vitrée et lui avait fracturé une vertèbre. Chara avait écopé d'une inconduite de match, mais il n'a pas fait l'objet d'autres sanctions.
Devant le tollé des amateurs, le DPCP a ordonné une enquête sur la mise en échec, mais des juristes ont qualifié de très improbables les chances de voir des accusations portées contre Chara.
Après l'incident, Pacioretty avait dénoncé la décision de la Ligue nationale de hockey (LNH) de ne pas suspendre le défenseur format géant, mais ne voyait pas l'utilité du déclenchement d'une enquête policière.
La police a conclu son enquête au mois d'août, après avoir rencontré plusieurs témoins, dont Chara. La conquête de la coupe Stanley par les Bruins a notamment retardé le travail des policiers du Service de police de la ville de Montréal.
Cette mise en échec avait profondément marqué Pacioretty, qui a failli voir sa prometteuse carrière prendre fin de façon abrupte. L'attaquant a subi une sévère commotion cérébrale, en plus d'une blessure cervicale, et avait raté le reste de la saison régulière ainsi que les séries éliminatoires du printemps 2011.
Le joueur du Canadien, qui s'était récemment fait avare de commentaires dans ce dossier, a brièvement fait référence à l'incident plus tôt ce mois-ci en lançant une fondation à Montréal. Il avait alors fait allusion à la qualité du personnel de l'Hôpital général de Montréal qui l'avait pris en charge à la suite de l'incident impliquant Chara.
«J'ai reçu d'excellents soins à l'Hôpital général. Je me considère choyé d'avoir pu complètement recouvrer la santé.»