Spacek sur le CH : « un gros gâchis »
Hockey vendredi, 20 janv. 2012. 18:01 dimanche, 22 déc. 2024. 04:17
Jaroslav Spacek ne semble pas trop s'ennuyer de Montréal et de l'atmosphère dans laquelle est présentement plongé le Canadien.
Spacek, que le Canadien a échangé aux Hurricanes de la Caroline en retour de Tomas Kaberle en décembre, a partagé sa vision de la saison de misère que traverse son ancienne formation lors d'un entretien avec Ben Raby, un membre de l'équipe de radiodiffusion des matchs des Capitals de Washington.
"Je suis bien content d'être parti, d'être loin de tout ce cirque", peut-on entendre dire Spacek dans un extrait audio qui a vite fait le tour de la toile vendredi.
Le défenseur tchèque, qui a joué 145 matchs répartis sur trois saisons avec le Tricolore, a fait l'énumération des problèmes de l'équipe, à commencer par le nombre élevé de blessés en début de saison et les changements qui ont été effectués au sein du groupe. "Et toute cette merde (crap) à propos d'un entraîneur qui parle français, ça n'aide vraiment pas à gagner des matchs", ajoute-t-il.
"C'est le sport numéro un à Montréal et au Québec. Tout le monde est fier de cette équipe, mais quand ça va mal, comme c'est le cas cette année, ce n'est pas beau à voir. Je crois que les gars se cachent présentement, ils n'osent même pas sortir pour aller manger. Je crois que c'est un gros gâchis."
Spacek a quatre points en 15 matchs depuis son arrivée avec les Hurricanes.
Spacek, que le Canadien a échangé aux Hurricanes de la Caroline en retour de Tomas Kaberle en décembre, a partagé sa vision de la saison de misère que traverse son ancienne formation lors d'un entretien avec Ben Raby, un membre de l'équipe de radiodiffusion des matchs des Capitals de Washington.
"Je suis bien content d'être parti, d'être loin de tout ce cirque", peut-on entendre dire Spacek dans un extrait audio qui a vite fait le tour de la toile vendredi.
Le défenseur tchèque, qui a joué 145 matchs répartis sur trois saisons avec le Tricolore, a fait l'énumération des problèmes de l'équipe, à commencer par le nombre élevé de blessés en début de saison et les changements qui ont été effectués au sein du groupe. "Et toute cette merde (crap) à propos d'un entraîneur qui parle français, ça n'aide vraiment pas à gagner des matchs", ajoute-t-il.
"C'est le sport numéro un à Montréal et au Québec. Tout le monde est fier de cette équipe, mais quand ça va mal, comme c'est le cas cette année, ce n'est pas beau à voir. Je crois que les gars se cachent présentement, ils n'osent même pas sortir pour aller manger. Je crois que c'est un gros gâchis."
Spacek a quatre points en 15 matchs depuis son arrivée avec les Hurricanes.