Duel CH-Canucks à saveur particulière
Vancouver Canucks vendredi, 9 mars 2012. 20:50 dimanche, 17 nov. 2024. 16:57
VANCOUVER - Avec la présence de nombreux Québécois et de quelques anciens du Canadien de Montréal chez les Canucks de Vancouver et des Britanno-Colombiens Josh Gorges et Carey Price du côté du Tricolore, le duel de samedi entre les deux équipes aura une saveur particulière pour plusieurs joueurs.
Même si le Canadien connaît des difficultés cette saison, le passage de l'équipe au passé glorieux représente toujours quelque chose de particulier pour les joueurs et les partisans.
«C'est toujours spécial de jouer contre eux», a déclaré Chris Higgins, qui avait été repêché au premier tour en 2002 par le Canadien. «J'ai encore plusieurs amis qui évoluent avec l'équipe. Nous ne les affrontons pas souvent, donc nous voulons bien faire.»
Higgins, qui a connu sa meilleure saison en carrière en 2007-2008 en totalisant 52 points avec le Canadien, a le talent nécessaire pour évoluer sur un des deux premiers trios maintenant qu'il est remis d'une infection staphylococcique.
«Son intensité pour récupérer les rondelles libres, gagner les batailles, sortir les rondelles de notre zone et la garder en zone offensive fait de lui un de nos joueurs qui ont travaillé le plus fort dès le premier jour cette saison», a noté l'entraîneur-chef des Canucks, Alain Vigneault, un autre ancien de l'organisation du Canadien.
Alexandre Burrows n'a jamais porté l'uniforme bleu-blanc-rouge du Canadien comme Higgins et Maxim Lapierre, mais l'attaquant originaire de Pincourt aime toujours affronter son équipe d'enfance.
«C'est l'équipe que je suivais quand j'étais jeune et c'est toujours spécial d'affronter le Canadien, a admis Burrows. Je connais beaucoup de personnes qui vont regarder le match samedi. C'est ça que tout le monde fait là-bas regarder le Canadien le samedi, boire quelques bières et apprécier le match.»
Malgré sa victoire de jeudi contre les Oilers d'Edmonton, le Canadien se retrouve toujours au dernier rang dans l'Est et 28e au classement général de la LNH.
Cependant, il ne faut pas que les Canucks s'attendent à un match facile.
«Ils ont un nouvel entraîneur et ont quelques joueurs blessés ce qui a nui à l'équipe, mais ils travaillent très fort», a analysé Burrows, qui fait partie de la filière québécoise des Canucks en compagnie de Lapierre, le défenseur Marc-André Gragnani, le gardien Roberto Luongo et Vigneault. «Jeudi, ils se sont présentés à Edmonton et ont gagné de manière convaincante, nous ne pouvons donc rien tenir pour acquis.»
Alors que Burrows et les Québécois ont hâte d'affronter le Canadien, Price est heureux de jouer dans sa province natale.
«Évidemment, j'aurai plusieurs parents et amis présents au match, donc c'est bien d'être ici», a indiqué Price, natif de Williams Lake. «Nous venons ici une seule fois par année, donc ça demeure particulier à chaque fois.»
Même si le Canadien connaît des difficultés cette saison, le passage de l'équipe au passé glorieux représente toujours quelque chose de particulier pour les joueurs et les partisans.
«C'est toujours spécial de jouer contre eux», a déclaré Chris Higgins, qui avait été repêché au premier tour en 2002 par le Canadien. «J'ai encore plusieurs amis qui évoluent avec l'équipe. Nous ne les affrontons pas souvent, donc nous voulons bien faire.»
Higgins, qui a connu sa meilleure saison en carrière en 2007-2008 en totalisant 52 points avec le Canadien, a le talent nécessaire pour évoluer sur un des deux premiers trios maintenant qu'il est remis d'une infection staphylococcique.
«Son intensité pour récupérer les rondelles libres, gagner les batailles, sortir les rondelles de notre zone et la garder en zone offensive fait de lui un de nos joueurs qui ont travaillé le plus fort dès le premier jour cette saison», a noté l'entraîneur-chef des Canucks, Alain Vigneault, un autre ancien de l'organisation du Canadien.
Alexandre Burrows n'a jamais porté l'uniforme bleu-blanc-rouge du Canadien comme Higgins et Maxim Lapierre, mais l'attaquant originaire de Pincourt aime toujours affronter son équipe d'enfance.
«C'est l'équipe que je suivais quand j'étais jeune et c'est toujours spécial d'affronter le Canadien, a admis Burrows. Je connais beaucoup de personnes qui vont regarder le match samedi. C'est ça que tout le monde fait là-bas regarder le Canadien le samedi, boire quelques bières et apprécier le match.»
Malgré sa victoire de jeudi contre les Oilers d'Edmonton, le Canadien se retrouve toujours au dernier rang dans l'Est et 28e au classement général de la LNH.
Cependant, il ne faut pas que les Canucks s'attendent à un match facile.
«Ils ont un nouvel entraîneur et ont quelques joueurs blessés ce qui a nui à l'équipe, mais ils travaillent très fort», a analysé Burrows, qui fait partie de la filière québécoise des Canucks en compagnie de Lapierre, le défenseur Marc-André Gragnani, le gardien Roberto Luongo et Vigneault. «Jeudi, ils se sont présentés à Edmonton et ont gagné de manière convaincante, nous ne pouvons donc rien tenir pour acquis.»
Alors que Burrows et les Québécois ont hâte d'affronter le Canadien, Price est heureux de jouer dans sa province natale.
«Évidemment, j'aurai plusieurs parents et amis présents au match, donc c'est bien d'être ici», a indiqué Price, natif de Williams Lake. «Nous venons ici une seule fois par année, donc ça demeure particulier à chaque fois.»