Alex Galchenyuk retrouve son souffle
Hockey lundi, 22 oct. 2012. 16:11 dimanche, 22 déc. 2024. 04:33
Après une saison où il n'a été limité qu'à huit matchs en raison d'une sévère blessure au genou, le premier choix du Canadien au dernier repêchage, Alex Galchenyuk, retrouve lentement mais surement son synchronisme avec sa formation junior, le Sting de Sarnia.
Galchenyuk a jusqu'ici inscrit 5 buts et amassé 10 mentions d'aide en 12 matchs, mais on sent que les choses commencent à revenir.
« J'ai commencé lentement, mais les choses reviennent peu à peu. J'ai encore du temps devant moi pour devenir le joueur que j'espère être », confie celui qui à l'âge de 16 ans avait récolté 83 points en 68 matchs aux côtés de Nail Yakupov.
« C'est certain que de rater un an ne l'a pas aidé. Il commence à retrouver son souffle. Il retrouve son niveau de jeu d'avant sa blessure. Ça peut prendre jusqu'à 20-25 matchs avant de vraiment se replacer », opine le directeur général et entraîneur-chef du Sting, Jacques Beaulieu.
Plusieurs amateurs et partisans du Canadien rêvent de voir Galchenyuk jouer à Montréal dès cette année, une fois le lock-out réglé. Il serait toutefois surprenant que le jeune surdoué puisse faire le saut après avoir raté une saison complète.
« Ç'a aurait été difficile. Il n'a pas joué pendant 12 mois. La marche est haute dans la LNH », tempère Beaulieu
Un capitaine heureux
Galchenyuk ressent par ailleurs beaucoup de fierté d'avoir été nommé capitaine du Sting. Pour Beaulieu, il n'y avait aucun autre candidat possible. Galchenyuk est l'exemple même de l'éthique de travail et du leadership.»
« C'est un honneur pour moi de porter le ''C''. Je tente de prêcher par l'exemple, surtout qu'il y a beaucoup de jeunes joueurs au sein de l'équipe cette année. »
« C'est un gars heureux au quotidien. Les partisans vont l'aimer. Le Canadien a fait un bon choix », assure Beaulieu, dont le fils Nathan est lui aussi un espoir du Tricolore.
Chose certaine l'état-major du CH épie ses moindres faits et gestes, Martin Lapointe (directeur du développement des joueurs) l'a déjà vu à l'oeuvre à trois reprises, alors que Marc Bergevin (directeur général), Michel Therrien (entraîneur-chef) et Trevor Timmins (directeur du recrutement) l'ont aussi observé attentivement au cours des derniers jours.
*D'après un reportage de Stéphane Leroux
Galchenyuk a jusqu'ici inscrit 5 buts et amassé 10 mentions d'aide en 12 matchs, mais on sent que les choses commencent à revenir.
« J'ai commencé lentement, mais les choses reviennent peu à peu. J'ai encore du temps devant moi pour devenir le joueur que j'espère être », confie celui qui à l'âge de 16 ans avait récolté 83 points en 68 matchs aux côtés de Nail Yakupov.
« C'est certain que de rater un an ne l'a pas aidé. Il commence à retrouver son souffle. Il retrouve son niveau de jeu d'avant sa blessure. Ça peut prendre jusqu'à 20-25 matchs avant de vraiment se replacer », opine le directeur général et entraîneur-chef du Sting, Jacques Beaulieu.
Plusieurs amateurs et partisans du Canadien rêvent de voir Galchenyuk jouer à Montréal dès cette année, une fois le lock-out réglé. Il serait toutefois surprenant que le jeune surdoué puisse faire le saut après avoir raté une saison complète.
« Ç'a aurait été difficile. Il n'a pas joué pendant 12 mois. La marche est haute dans la LNH », tempère Beaulieu
Un capitaine heureux
Galchenyuk ressent par ailleurs beaucoup de fierté d'avoir été nommé capitaine du Sting. Pour Beaulieu, il n'y avait aucun autre candidat possible. Galchenyuk est l'exemple même de l'éthique de travail et du leadership.»
« C'est un honneur pour moi de porter le ''C''. Je tente de prêcher par l'exemple, surtout qu'il y a beaucoup de jeunes joueurs au sein de l'équipe cette année. »
« C'est un gars heureux au quotidien. Les partisans vont l'aimer. Le Canadien a fait un bon choix », assure Beaulieu, dont le fils Nathan est lui aussi un espoir du Tricolore.
Chose certaine l'état-major du CH épie ses moindres faits et gestes, Martin Lapointe (directeur du développement des joueurs) l'a déjà vu à l'oeuvre à trois reprises, alors que Marc Bergevin (directeur général), Michel Therrien (entraîneur-chef) et Trevor Timmins (directeur du recrutement) l'ont aussi observé attentivement au cours des derniers jours.
*D'après un reportage de Stéphane Leroux