Le feu sacré de C. Price : la pression
Hockey lundi, 5 nov. 2012. 21:50 dimanche, 22 déc. 2024. 04:14
Flanqué de trois de ses prédécesseurs devant le filet du Canadien, Carey Price a effectué un passage remarqué sur le plateau de l'Antichambre lundi soir.
Complétant une brochette d'invités composée de Marc Denis, Jocelyn Thibault et Patrick Roy, Price a notamment parlé de la pression de jouer à la hauteur des attentes généralement placées sur les épaules du gardien du Tricolore, de sa place sur la scène sportive montréalaise et de l'impact qu'a eu Jaroslav Halak sur son apprentissage. Il s'est aussi penché sur les nombreux changements observés au sein de son équipe depuis la fin de la dernière saison.
« Porter le chandail du Canadien, c'est toujours un fardeau. Les attentes des amateurs sont très élevées et c'est difficile d'être capable de porter le même flambeau que des gars comme Patrick ont porté avant moi », a concédé Price.
« Mais ça alimente mon feu sacré, a-t-il ajouté. Ces attentes font en sorte que je travaille plus fort. Je veux être à la hauteur et la seule façon de le faire, c'est de mettre les efforts de l'avant. »
Le choix de première ronde du Canadien en 2005 a identifié le printemps 2010, alors qu'on lui avait préféré Halak pour guider l'équipe en séries éliminatoires, comme un point tournant dans sa jeune carrière.
« Avant d'en arriver là, j'avais eu le poste de numéro un toute ma vie. De passer tous ces mois sur le banc, ça m'a rendu beaucoup plus humble et c'est exactement ce dont j'avais besoin à l'époque. Je n'avais pas les racines pour faire face à la pression à ce moment. Après cette expérience, je suis devenu un meilleur professionnel », a avoué celui qui a signé un contrat de six ans avec le CH cet été.
Price fait partie des plans à long terme d'une équipe dont le visage a changé considérablement au cours des derniers mois. Comme tous ses confrères qui attendent le dénouement du lock-out, il ronge son frein en attendant de pouvoir constater l'effet des changements apportés au sein de la direction.
« Ça va être tout un ajustement, parce qu'il y a beaucoup de nouveaux visages, de nouvelles voix auxquelles il faudra s'habituer. C'est une situation un peu bizarre parce qu'en ce moment, on ne peut pas parler à nos nouveaux patrons, on est un peu dans le noir. »
Visionnez l'intégrale de la visite de Carey Price sur nos plateaux en vous rendant sur le site officiel de l'Antichambre.
Complétant une brochette d'invités composée de Marc Denis, Jocelyn Thibault et Patrick Roy, Price a notamment parlé de la pression de jouer à la hauteur des attentes généralement placées sur les épaules du gardien du Tricolore, de sa place sur la scène sportive montréalaise et de l'impact qu'a eu Jaroslav Halak sur son apprentissage. Il s'est aussi penché sur les nombreux changements observés au sein de son équipe depuis la fin de la dernière saison.
« Porter le chandail du Canadien, c'est toujours un fardeau. Les attentes des amateurs sont très élevées et c'est difficile d'être capable de porter le même flambeau que des gars comme Patrick ont porté avant moi », a concédé Price.
« Mais ça alimente mon feu sacré, a-t-il ajouté. Ces attentes font en sorte que je travaille plus fort. Je veux être à la hauteur et la seule façon de le faire, c'est de mettre les efforts de l'avant. »
Le choix de première ronde du Canadien en 2005 a identifié le printemps 2010, alors qu'on lui avait préféré Halak pour guider l'équipe en séries éliminatoires, comme un point tournant dans sa jeune carrière.
« Avant d'en arriver là, j'avais eu le poste de numéro un toute ma vie. De passer tous ces mois sur le banc, ça m'a rendu beaucoup plus humble et c'est exactement ce dont j'avais besoin à l'époque. Je n'avais pas les racines pour faire face à la pression à ce moment. Après cette expérience, je suis devenu un meilleur professionnel », a avoué celui qui a signé un contrat de six ans avec le CH cet été.
Price fait partie des plans à long terme d'une équipe dont le visage a changé considérablement au cours des derniers mois. Comme tous ses confrères qui attendent le dénouement du lock-out, il ronge son frein en attendant de pouvoir constater l'effet des changements apportés au sein de la direction.
« Ça va être tout un ajustement, parce qu'il y a beaucoup de nouveaux visages, de nouvelles voix auxquelles il faudra s'habituer. C'est une situation un peu bizarre parce qu'en ce moment, on ne peut pas parler à nos nouveaux patrons, on est un peu dans le noir. »
Visionnez l'intégrale de la visite de Carey Price sur nos plateaux en vous rendant sur le site officiel de l'Antichambre.