Inquiétude pour le saumon
Chasse et pêche vendredi, 9 janv. 2009. 12:12 vendredi, 22 nov. 2024. 04:45
Tous savent que notre saumon atlantique est un grand voyageur, qui, de par sa nature d'anadrome, fréquente périodiquement les rivières et l'océan Atlantique.
Comme les longues distances à parcourir ne l'effraient pas, nous le retrouvons des deux côtés de l'Atlantique Nord. Donc du côté de l'Ungava, au Labrador, au Groënland, au Québec, dans les Maritimes et dans le nord de la côte est des États-Unis.
On le rencontre aussi sur la côte européenne, à partir d'endroits au-delà du cercle arctique, jusqu'au Portugal. Ce poisson possède une valeur halieutique incomparable, il suscite énormément d'intérêt, bref, il est le roi de nos poissons d'eau douce... mais il est grand voyageur, d'où la raison de rédiger ce texte.
Mon inquiétude suscitée par la pisculture intensive du saumon atlantique plus particulièrement en Écosse en est la cause.
Bonne saison dans nos rivières
Au Québec, notre saison de pêche sportive fut intéressante, pour les sportifs. Les informations obtenues des rivières du Bas-Saint-Laurent étaient encourageantes, puisque la diminution des populations de saumons, au cours des années passées demeure toujours comme une ombre au tableau. Il y eut un plus grand nombre de pêcheurs au cours de la dernière saison, près de 20,000 journées à taquiner ce poisson. Quant aux résultats de Madeleineaux, ils doublaient ceux de l'an dernier, ils étaient de 69% supérieurs à ceux conservés depuis 2003.
Une bonne année 2009 est anticipée, selon les renseignements obtenus des responsables de la faune, à la suite de la constatation de cette abondance de Madeleineaux, ou si vous préférez de jeunes saumons, dans les rivières du Bas-Saint-Laurent. Pour ma part, en compagnie d'amis, à l'Île d'Anticosti, nous en avons ferré une cinquantaine, presque tous graciés, au cours d'une semaine - donc autre preuve, que nos saumons se portent mieux qu'il y a quelques années. Il faut toutefois nous inquiéter, à la suite de cette nouvelle déconcertante provenant d'Écosse.
Une infection mortelle
Les saumons d'Écosse seraient menacés d'une infection mortelle de nous apprendre Max Science. Il y aurait une maladie infectieuse, qui pourrait dévaster la production écossaise de saumons. Les conséquences économiques seraient désastreuses, pouvant entraîner une perte d'un demi-milliard de dollars. à ceci ajoutons quelques centaines d'emplois.
Cette anémie infectieuse du saumon (ais) était découverte dans une ferme piscicole, dans deux sites de l'île Bura Shetland, expliquaient des ministres écossais. Antérieurement, une même infection était déjà fort coûteuse. Ces piscicultures doivent produire du saumon pour la consommation. S'il fallait que certains de ces poissons se retrouvent en mer, les pires désastres pourraient en résulter chez nous.
Au Québec, du saumon atlantique : la race, lignée ou génétique sont demeurées intactes. Il faut craindre cette venue infectieuse dans nos eaux : "de fermes aquacoles, quelque 800,000 saumons s'échapperaient. Cette forme de pisciculture intensive pourrait être à l'origine de la pire catastrophe écologique."
Comme les longues distances à parcourir ne l'effraient pas, nous le retrouvons des deux côtés de l'Atlantique Nord. Donc du côté de l'Ungava, au Labrador, au Groënland, au Québec, dans les Maritimes et dans le nord de la côte est des États-Unis.
On le rencontre aussi sur la côte européenne, à partir d'endroits au-delà du cercle arctique, jusqu'au Portugal. Ce poisson possède une valeur halieutique incomparable, il suscite énormément d'intérêt, bref, il est le roi de nos poissons d'eau douce... mais il est grand voyageur, d'où la raison de rédiger ce texte.
Mon inquiétude suscitée par la pisculture intensive du saumon atlantique plus particulièrement en Écosse en est la cause.
Bonne saison dans nos rivières
Au Québec, notre saison de pêche sportive fut intéressante, pour les sportifs. Les informations obtenues des rivières du Bas-Saint-Laurent étaient encourageantes, puisque la diminution des populations de saumons, au cours des années passées demeure toujours comme une ombre au tableau. Il y eut un plus grand nombre de pêcheurs au cours de la dernière saison, près de 20,000 journées à taquiner ce poisson. Quant aux résultats de Madeleineaux, ils doublaient ceux de l'an dernier, ils étaient de 69% supérieurs à ceux conservés depuis 2003.
Une bonne année 2009 est anticipée, selon les renseignements obtenus des responsables de la faune, à la suite de la constatation de cette abondance de Madeleineaux, ou si vous préférez de jeunes saumons, dans les rivières du Bas-Saint-Laurent. Pour ma part, en compagnie d'amis, à l'Île d'Anticosti, nous en avons ferré une cinquantaine, presque tous graciés, au cours d'une semaine - donc autre preuve, que nos saumons se portent mieux qu'il y a quelques années. Il faut toutefois nous inquiéter, à la suite de cette nouvelle déconcertante provenant d'Écosse.
Une infection mortelle
Les saumons d'Écosse seraient menacés d'une infection mortelle de nous apprendre Max Science. Il y aurait une maladie infectieuse, qui pourrait dévaster la production écossaise de saumons. Les conséquences économiques seraient désastreuses, pouvant entraîner une perte d'un demi-milliard de dollars. à ceci ajoutons quelques centaines d'emplois.
Cette anémie infectieuse du saumon (ais) était découverte dans une ferme piscicole, dans deux sites de l'île Bura Shetland, expliquaient des ministres écossais. Antérieurement, une même infection était déjà fort coûteuse. Ces piscicultures doivent produire du saumon pour la consommation. S'il fallait que certains de ces poissons se retrouvent en mer, les pires désastres pourraient en résulter chez nous.
Au Québec, du saumon atlantique : la race, lignée ou génétique sont demeurées intactes. Il faut craindre cette venue infectieuse dans nos eaux : "de fermes aquacoles, quelque 800,000 saumons s'échapperaient. Cette forme de pisciculture intensive pourrait être à l'origine de la pire catastrophe écologique."