Raikkonen tout du long
Course dimanche, 21 août 2005. 22:16 jeudi, 12 déc. 2024. 06:39
Et bien voilà, le Grand Prix de Turquie vient de se terminer par la victoire de Kimi Raikkonen, une victoire plus que méritée puisque avant la fin du premier tour, il avait déjà pris la tête de ce Grand Prix.
Il n'a été nullement inquiété tout au long. Mais, petite déception, Juan Pablo Montoya qui aurait pu faire le doublé s'est accroché avec Tiago Monteiro.
«Dès que Montoya m'a doublé, il s'est remis devant moi assez violemment. Je ne sais pas si vous avez vu les images, mais j'étais complètement aveuglé et j'ai freiné. Mais, il a freiné très très fort, j'ai perdu tout l'appui aérodynamique donc j'ai bloqué les roues et je n'ai pas pu faire autrement que de le pousser, a expliqué Monteiro.
«Je pense que la voiture était assez rapide. Par contre, au départ, la voiture n'est pas partie. Je ne sais pas ce qui s'est passé aujourd'hui, ça n'a pas marché, a confié Jacques Villeneuve, pilote chez Sauber.
« Après il y a eu beaucoup d'actions au premier virage. J'ai freiné tôt pour ne pas frapper les roues des autres. Après je me suis retrouvé derrière les Minardi et les Jordan. Malheureusement, ça m'a pris deux ou trois tours pour chauffer les pneus. Comme elles sont rapides en ligne droite, c'est difficile de les doubler.»
Prochain rendez-vous c'est dans 15 jours. Nous serons à Monza, dans le temple de la course automobile, sur la terre promise de Ferrari. Mais là. Il y aura encore beaucoup de travail à faire.
Il n'a été nullement inquiété tout au long. Mais, petite déception, Juan Pablo Montoya qui aurait pu faire le doublé s'est accroché avec Tiago Monteiro.
«Dès que Montoya m'a doublé, il s'est remis devant moi assez violemment. Je ne sais pas si vous avez vu les images, mais j'étais complètement aveuglé et j'ai freiné. Mais, il a freiné très très fort, j'ai perdu tout l'appui aérodynamique donc j'ai bloqué les roues et je n'ai pas pu faire autrement que de le pousser, a expliqué Monteiro.
«Je pense que la voiture était assez rapide. Par contre, au départ, la voiture n'est pas partie. Je ne sais pas ce qui s'est passé aujourd'hui, ça n'a pas marché, a confié Jacques Villeneuve, pilote chez Sauber.
« Après il y a eu beaucoup d'actions au premier virage. J'ai freiné tôt pour ne pas frapper les roues des autres. Après je me suis retrouvé derrière les Minardi et les Jordan. Malheureusement, ça m'a pris deux ou trois tours pour chauffer les pneus. Comme elles sont rapides en ligne droite, c'est difficile de les doubler.»
Prochain rendez-vous c'est dans 15 jours. Nous serons à Monza, dans le temple de la course automobile, sur la terre promise de Ferrari. Mais là. Il y aura encore beaucoup de travail à faire.