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Marc-Antoine Dequoy prêt à reprendre son poste jeudi contre les Roughriders

Publié
Mise à jour

La rencontre sera présentée sur RDS et RDS.ca jeudi à compter de 19 h avec l'avant-match

Statistiques d'avant-match

Le maraudeur des Alouettes de Montréal Marc-Antoine Dequoy effectuera un retour au jeu contre les Roughriders de la Saskatchewan, jeudi. Il a indiqué aux médias lundi qu'il se sentait prêt pour renouer avec l'action.

Le Québécois n'a pas joué le dernier match contre Toronto à la suite d'une blessure à une épaule. Il a largement profité de la semaine de congé que les Alouettes ont eu après leur première défaite de la saison après une série de cinq victoires. « C'est un sport physique et dès que tu as du temps pour te reposer et prendre soin de tes blessures, c'est toujours apprécié.  On essaie d'en faire le plus possible durant ces semaines-là pour se ressourcer mentalement et physiquement », a-t-il mentionné dans un point de presse partagé par les Alouettes sur leurs médias sociaux.

Dequoy est confiant de voir son équipe rebondir. « On a déjà fait face à l'adversité et j'aime l'énergie que j'ai vue durant la semaine. »

Les Alouettes et les Roughriders ont la même fiche (5-1) et la Saskatchewan a eu une courte semaine de préparation. Dequoy se garde bien de prêcher par excès de confiance. « Il ne faut pas trop anticiper quand ils ont une semaine courte à savoir s'ils vont tant changer leur attaque. Il faut se concentrer sur soi-même et faire les choses à notre façon pour essayer de dicter l'allure du match », a ajouté le maraudeur.

Tant les Alouettes que les Riders sont privés de leur quart respectif. Les visiteurs confieront le ballon à Shea Patterson alors que Cody Fajardo sera remplacé par Caleb Evans, mais pas question pour Dequoy de se casser la tête à chercher des comparables entre les deux clubs. « Le personnel d'entraîneurs fait un plan de match et regarde ce que les équipes adverses font. Notre mandat comme joueur est de se concentrer sur ce que l'on peut faire et comment s'améliorer. Les comparaisons, on va les laisser aux médias, aux entraîneurs et au directeur général. »