Bob Tway prend la tête à Montréal
Golf samedi, 23 juin 2012. 12:46 lundi, 2 déc. 2024. 11:39
SAINTE-JULIE, Qc - Bob Tway a flirté avec le record de parcours établi par Marc Girouard en jouant 65, samedi, et il s'est propulsé en tête du Championnat de Montréal avec un score cumulatif de moins-9 à l'issue de la deuxième ronde.
Tway, qui a remporté le Championnat de la PGA en 1986, s'est notamment illustré en connaissant une séquence de six oiselets entre les trous nos 7 et 12. Il a toutefois raté son rendez-vous avec l'histoire en commettant un boguey sur le 18e vert, ratant le record de parcours par un seul coup. Girouard avait réussi une ronde de 64 lors d'un tournoi Pro-Am il y a une vingtaine d'années, soit avant que le parcours Verchères ne soit rénové entre 2006 et 2008.
Néanmoins, l'Américain de 53 ans a admis se sentir à l'aise au Canada, où il a triomphé pour la dernière fois en carrière lors de l'Omnium canadien de 2003 à Hamilton, après avoir vaincu Brad Faxon sur le troisième trou de prolongation.
«Ça fait longtemps que je n'ai pas gagné, a dit Tway. Ce sera amusant demain, parce que je n'ai pas eu beaucoup de chances de gagner dernièrement. Mon dernier bon tournoi remonte à Houston il y a quelques années. Nous carburons à la compétition; nous avons besoin de sentir les papillons dans notre estomac et de voir jusqu'où on peut aller.
«J'espère donc que ça va se poursuivre demain, et je souhaite particulièrement profiter des normales-5. Je dois cependant atteindre davantage les allées. Ça rend toujours les choses plus simples, surtout parce que le parcours sera encore plus ferme qu'aujourd'hui.»
Par ailleurs, les quatre représentants du fleurdelysé, Girouard, Claude Tremblay qui a réussi un trou d'un coup en première ronde , Yvan Beauchemin et Jean Laforce, ont respectivement joué 76, 75, 71 et 74 samedi. Girouard est toujours le meilleur golfeur du groupe avec un score total de 147 (plus-3).
Calcavecchia, Irwin aiment bien le Canada
La course au titre promet d'être enlevante dimanche puisque pas moins de 10 golfeurs sont à quatre coups ou moins de Tway. Il devra notamment se méfier de Mark Calcavecchia, qui n'accuse qu'un coup de retard après avoir évité les bogueys et remis une carte de 67 (moins-5) samedi.
«De toute évidence, pour des raisons que j'ignore, je joue bien au nord de la frontière», a commenté Calcavecchia, qui a remporté deux tournois à Vancouver en plus de l'Omnium canadien en 2005. «Ce sera amusant de jouer avec Bob demain il vient de connaître toute une ronde. Il va falloir atteindre les allées régulièrement, et j'espère réussir des oiselets sur au moins trois normales-5, si non les quatre, afin d'espérer l'emporter.»
Jay Don Blake (67), Hale Irwin (68), le meneur à l'issue de la première ronde Russ Cochran (71) et Michael Allen (69) accusent un coup de retard supplémentaire à moins-7.
«À 67 ans, lorsque tu joues contre des gars qui sont relativement plus jeunes et qui comptent autant d'expérience, et qui peuvent encore compter sur d'excellentes habiletés, c'est difficile, a reconnu Irwin. On n'a qu'à regarder les scores qu'ils enregistrent, tous les Bob Tway et Dan Forsman de ce monde. Ce sont de très bons joueurs.
«Je ne sais pas pourquoi (je joue bien au Canada), a-t-il poursuivi. Mais je pense que mes yeux sont confortables, ici, avec les corridors. Je ne suis pas aussi efficace lorsque c'est très large. Je ne sais pas pourquoi, mais on dirait que je me concentre plus sur ma cible à atteindre et c'est pourquoi je suis meilleur. Ça pourrait expliquer mes résultats, je crois.»
Ils sont suivis à 138 par Gary Hallberg et Jerry Pate. Un groupe de trois golfeurs complète le top-10 à moins-5.
Un nouveau champion couronné!
On devrait donc assister au couronnement d'un troisième champion en autant de Championnats de Montréal dimanche.
Le champion en titre de l'événement, John Cook, a joué la normale (72) samedi pour demeurer à moins-1. Il semble de plus en plus évident qu'il ne parviendra pas à défendre son titre acquis l'an dernier au Fontainebleau, puisqu'il accuse désormais un retard de huit coups sur Tway.
Après avoir connu un début de ronde prometteur en calant des oiselets aux quatrième et cinquième, le Canadien Rod Spittle a trébuché et commis des bogueys aux trous no 7, 13 et 14 en route vers un score de 72, le reléguant à moins-4 après 36 trous. Pour sa part, le Britanno-Colombien Jim Rutledge a joué 68 pour se retrouver à égalité avec la normale, au 37e échelon.
Au total, 81 golfeurs sont inscrits au tournoi et se disputeront la cagnotte de 1,8 million $, dont 270 000 $ iront au vainqueur. Le tournoi est présenté pour la première fois au club de golf La Vallée du Richelieu.
Les jours ne se ressemblent pas pour Girouard
Les journées se suivent et ne se ressemblent pas pour le golfeur québécois Marc Girouard, qui s'est contenté d'un score de 76 (plus-4) lors de la deuxième ronde.
Le représentant du club de golf Le Diamant est néanmoins demeuré le meilleur représentant du fleurdelisé avec un score cumulatif de plus-3, à égalité en 57e position. Girouard a souligné que contrairement à vendredi, où ses erreurs étaient davantage de niveau mental, il avait connu des ennuis avec l'éxécution de ses coups en deuxième ronde.
"Le rythme était moins bon, mais bon, le golf c'est le golf, et si c'était toujours pareil ce serait toujours les mêmes qui gagneraient", a philosophé Girouard. "Mais je ne suis pas dévasté par ça, pas du tout. J'ai moins bien joué, c'est un fait, maintenant, je pense que c'est très possible de ramener un pointage sous la normale demain."
La journée avait pourtant bien commencé pour Girouard, qui a récemment fêté son 50e anniversaire. Il avait même rétréci l'écart avec le meneur en calant un oiselet dès le premier trou samedi, mais il a enchaîné avec un boguey. Le golfeur du club Le Diamant a de nouveau connu des ennuis au trou no 6, une normale-3 de 189 verges, en commettant un double boguey. Il a complété sa ronde avec deux bogueys supplémentaires aux 11e et 13e trous.
"Je me suis posé des questions sur certains coups aujourd'hui, notamment sur mon coup de départ dans le bois au trou no 2, a-t-il fait remarquer. Au trou no 6, j'ai envoyé mon coup de fer-5 dans l'eau, et donc je me suis retrouvé à faire du golf de rattrapage. Je vais rapidement tourner la page, et j'ai déjà hâte à la partie de demain."
Un point de vue partagé par Yvan Beauchemin, du club Le Fontainebleau, qui fut le seul représentant du Québec à améliorer son sort en deuxième ronde en remettant une carte de 71 (moins-1). Le golfeur de 54 ans a réussi trois oiselets, contre deux bogueys, se hissant ainsi à un seul coup de Girouard au classement général.
"Comme un gars a déjà dit, il faut devenir bon perdant dans la vie, mais pas y prendre goût, a déclaré Beauchemin. Alors on a le droit d'être déçu quand ça ne va pas bien, mais à force de jouer dans des conditions comme ça on finit par s'y habituer. En général, ça c'est bien passé, en dépit de quelques bévues."
Beauchemin, tout sourire, a également confié qu'il avait dû procéder à de nombreux ajustements entre les deux premières rondes afin de s'adapter aux exigences du terrain, encore plus dur et rapide que la veille. Il a notamment dû changer de sorte de balle, afin d'en choisir une plus tendre qui absorbe mieux le choc lors des atterrissages sur les verts.
Bien qu'il ait déclaré ne pas entretenir de compétition avec ses compatriotes, le représentant du Fontainebleau a reconnu avoir tenu une petite gageure avec Jean Laforce, à savoir qui avait atteint le plus d'allées sur leurs coups de départ durant la deuxième ronde. C'est le représentant du club Saint-Jean-de-Matha, avec 11, qui a remporté le duel.
"C'était pour le plaisir, mais on ne joue pas l'un contre l'autre, a dit Beauchemin. On joue plutôt contre les conditions, même si c'est certain que c'est flatteur d'être le meilleur golfeur québécois. Mais on va seulement s'en rendre compte à la fin du tournoi. On est trop occupé à frapper chaque coup, il ne faut vraiment pas que tu laisses ton attention divaguer, sinon ça peut te coûter cher."
Laforce et l'autre Québécois inscrit au tournoi _ Claude Tremblay _, qui ont connu leur part d'ennuis durant la première ronde, sont parvenus à limiter les dégâts samedi en jouant respectivement 74 et 75.
"Je suis quasiment plus déçu qu'hier, a lancé Tremblay. J'ai mieux joué _ mes coups roulés étaient bien meilleurs _, mais ma fin de ronde a été très mauvaise. C'est dommage parce que j'étais à égalité avec la normale après 13 ou 14 trous.
"Je crois qu'une combinaison de facteurs peuvent expliquer ce résultat, a-t-il ajouté. On n'est pas habitué de jouer dans ces conditions-là, et je pense que la fatigue commence à embarquer, parce qu'on ne joue jamais des tournois de trois rondes comme celui-ci."
Laforce a cependant dégringolé à l'avant-dernier rang du classement général avec un cumulatif de plus-10, un coup devant l'Américain Ronnie Black.
Le meilleur résultat québécois de l'histoire du tournoi est la 52e place de Beauchemin à moins-6 l'an dernier au club de golf Le Fontainebleau. Un résultat qui sera difficile à obtenir, notamment en raison des conditions de jeu très exigeantes cette semaine à Sainte-Julie.
Tway, qui a remporté le Championnat de la PGA en 1986, s'est notamment illustré en connaissant une séquence de six oiselets entre les trous nos 7 et 12. Il a toutefois raté son rendez-vous avec l'histoire en commettant un boguey sur le 18e vert, ratant le record de parcours par un seul coup. Girouard avait réussi une ronde de 64 lors d'un tournoi Pro-Am il y a une vingtaine d'années, soit avant que le parcours Verchères ne soit rénové entre 2006 et 2008.
Néanmoins, l'Américain de 53 ans a admis se sentir à l'aise au Canada, où il a triomphé pour la dernière fois en carrière lors de l'Omnium canadien de 2003 à Hamilton, après avoir vaincu Brad Faxon sur le troisième trou de prolongation.
«Ça fait longtemps que je n'ai pas gagné, a dit Tway. Ce sera amusant demain, parce que je n'ai pas eu beaucoup de chances de gagner dernièrement. Mon dernier bon tournoi remonte à Houston il y a quelques années. Nous carburons à la compétition; nous avons besoin de sentir les papillons dans notre estomac et de voir jusqu'où on peut aller.
«J'espère donc que ça va se poursuivre demain, et je souhaite particulièrement profiter des normales-5. Je dois cependant atteindre davantage les allées. Ça rend toujours les choses plus simples, surtout parce que le parcours sera encore plus ferme qu'aujourd'hui.»
Par ailleurs, les quatre représentants du fleurdelysé, Girouard, Claude Tremblay qui a réussi un trou d'un coup en première ronde , Yvan Beauchemin et Jean Laforce, ont respectivement joué 76, 75, 71 et 74 samedi. Girouard est toujours le meilleur golfeur du groupe avec un score total de 147 (plus-3).
Calcavecchia, Irwin aiment bien le Canada
La course au titre promet d'être enlevante dimanche puisque pas moins de 10 golfeurs sont à quatre coups ou moins de Tway. Il devra notamment se méfier de Mark Calcavecchia, qui n'accuse qu'un coup de retard après avoir évité les bogueys et remis une carte de 67 (moins-5) samedi.
«De toute évidence, pour des raisons que j'ignore, je joue bien au nord de la frontière», a commenté Calcavecchia, qui a remporté deux tournois à Vancouver en plus de l'Omnium canadien en 2005. «Ce sera amusant de jouer avec Bob demain il vient de connaître toute une ronde. Il va falloir atteindre les allées régulièrement, et j'espère réussir des oiselets sur au moins trois normales-5, si non les quatre, afin d'espérer l'emporter.»
Jay Don Blake (67), Hale Irwin (68), le meneur à l'issue de la première ronde Russ Cochran (71) et Michael Allen (69) accusent un coup de retard supplémentaire à moins-7.
«À 67 ans, lorsque tu joues contre des gars qui sont relativement plus jeunes et qui comptent autant d'expérience, et qui peuvent encore compter sur d'excellentes habiletés, c'est difficile, a reconnu Irwin. On n'a qu'à regarder les scores qu'ils enregistrent, tous les Bob Tway et Dan Forsman de ce monde. Ce sont de très bons joueurs.
«Je ne sais pas pourquoi (je joue bien au Canada), a-t-il poursuivi. Mais je pense que mes yeux sont confortables, ici, avec les corridors. Je ne suis pas aussi efficace lorsque c'est très large. Je ne sais pas pourquoi, mais on dirait que je me concentre plus sur ma cible à atteindre et c'est pourquoi je suis meilleur. Ça pourrait expliquer mes résultats, je crois.»
Ils sont suivis à 138 par Gary Hallberg et Jerry Pate. Un groupe de trois golfeurs complète le top-10 à moins-5.
Un nouveau champion couronné!
On devrait donc assister au couronnement d'un troisième champion en autant de Championnats de Montréal dimanche.
Le champion en titre de l'événement, John Cook, a joué la normale (72) samedi pour demeurer à moins-1. Il semble de plus en plus évident qu'il ne parviendra pas à défendre son titre acquis l'an dernier au Fontainebleau, puisqu'il accuse désormais un retard de huit coups sur Tway.
Après avoir connu un début de ronde prometteur en calant des oiselets aux quatrième et cinquième, le Canadien Rod Spittle a trébuché et commis des bogueys aux trous no 7, 13 et 14 en route vers un score de 72, le reléguant à moins-4 après 36 trous. Pour sa part, le Britanno-Colombien Jim Rutledge a joué 68 pour se retrouver à égalité avec la normale, au 37e échelon.
Au total, 81 golfeurs sont inscrits au tournoi et se disputeront la cagnotte de 1,8 million $, dont 270 000 $ iront au vainqueur. Le tournoi est présenté pour la première fois au club de golf La Vallée du Richelieu.
Les jours ne se ressemblent pas pour Girouard
Les journées se suivent et ne se ressemblent pas pour le golfeur québécois Marc Girouard, qui s'est contenté d'un score de 76 (plus-4) lors de la deuxième ronde.
Le représentant du club de golf Le Diamant est néanmoins demeuré le meilleur représentant du fleurdelisé avec un score cumulatif de plus-3, à égalité en 57e position. Girouard a souligné que contrairement à vendredi, où ses erreurs étaient davantage de niveau mental, il avait connu des ennuis avec l'éxécution de ses coups en deuxième ronde.
"Le rythme était moins bon, mais bon, le golf c'est le golf, et si c'était toujours pareil ce serait toujours les mêmes qui gagneraient", a philosophé Girouard. "Mais je ne suis pas dévasté par ça, pas du tout. J'ai moins bien joué, c'est un fait, maintenant, je pense que c'est très possible de ramener un pointage sous la normale demain."
La journée avait pourtant bien commencé pour Girouard, qui a récemment fêté son 50e anniversaire. Il avait même rétréci l'écart avec le meneur en calant un oiselet dès le premier trou samedi, mais il a enchaîné avec un boguey. Le golfeur du club Le Diamant a de nouveau connu des ennuis au trou no 6, une normale-3 de 189 verges, en commettant un double boguey. Il a complété sa ronde avec deux bogueys supplémentaires aux 11e et 13e trous.
"Je me suis posé des questions sur certains coups aujourd'hui, notamment sur mon coup de départ dans le bois au trou no 2, a-t-il fait remarquer. Au trou no 6, j'ai envoyé mon coup de fer-5 dans l'eau, et donc je me suis retrouvé à faire du golf de rattrapage. Je vais rapidement tourner la page, et j'ai déjà hâte à la partie de demain."
Un point de vue partagé par Yvan Beauchemin, du club Le Fontainebleau, qui fut le seul représentant du Québec à améliorer son sort en deuxième ronde en remettant une carte de 71 (moins-1). Le golfeur de 54 ans a réussi trois oiselets, contre deux bogueys, se hissant ainsi à un seul coup de Girouard au classement général.
"Comme un gars a déjà dit, il faut devenir bon perdant dans la vie, mais pas y prendre goût, a déclaré Beauchemin. Alors on a le droit d'être déçu quand ça ne va pas bien, mais à force de jouer dans des conditions comme ça on finit par s'y habituer. En général, ça c'est bien passé, en dépit de quelques bévues."
Beauchemin, tout sourire, a également confié qu'il avait dû procéder à de nombreux ajustements entre les deux premières rondes afin de s'adapter aux exigences du terrain, encore plus dur et rapide que la veille. Il a notamment dû changer de sorte de balle, afin d'en choisir une plus tendre qui absorbe mieux le choc lors des atterrissages sur les verts.
Bien qu'il ait déclaré ne pas entretenir de compétition avec ses compatriotes, le représentant du Fontainebleau a reconnu avoir tenu une petite gageure avec Jean Laforce, à savoir qui avait atteint le plus d'allées sur leurs coups de départ durant la deuxième ronde. C'est le représentant du club Saint-Jean-de-Matha, avec 11, qui a remporté le duel.
"C'était pour le plaisir, mais on ne joue pas l'un contre l'autre, a dit Beauchemin. On joue plutôt contre les conditions, même si c'est certain que c'est flatteur d'être le meilleur golfeur québécois. Mais on va seulement s'en rendre compte à la fin du tournoi. On est trop occupé à frapper chaque coup, il ne faut vraiment pas que tu laisses ton attention divaguer, sinon ça peut te coûter cher."
Laforce et l'autre Québécois inscrit au tournoi _ Claude Tremblay _, qui ont connu leur part d'ennuis durant la première ronde, sont parvenus à limiter les dégâts samedi en jouant respectivement 74 et 75.
"Je suis quasiment plus déçu qu'hier, a lancé Tremblay. J'ai mieux joué _ mes coups roulés étaient bien meilleurs _, mais ma fin de ronde a été très mauvaise. C'est dommage parce que j'étais à égalité avec la normale après 13 ou 14 trous.
"Je crois qu'une combinaison de facteurs peuvent expliquer ce résultat, a-t-il ajouté. On n'est pas habitué de jouer dans ces conditions-là, et je pense que la fatigue commence à embarquer, parce qu'on ne joue jamais des tournois de trois rondes comme celui-ci."
Laforce a cependant dégringolé à l'avant-dernier rang du classement général avec un cumulatif de plus-10, un coup devant l'Américain Ronnie Black.
Le meilleur résultat québécois de l'histoire du tournoi est la 52e place de Beauchemin à moins-6 l'an dernier au club de golf Le Fontainebleau. Un résultat qui sera difficile à obtenir, notamment en raison des conditions de jeu très exigeantes cette semaine à Sainte-Julie.