Éric Bélanger a été trompé par les Caps
Arizona Coyotes mardi, 14 sept. 2010. 16:37 vendredi, 22 nov. 2024. 00:34
Par Éric Leblanc - Depuis huit semaines, Éric Bélanger était convaincu de poursuivre sa carrière avec les Capitals tellement qu'il avait trouvé sa future maison à Washington. Mais coup de théâtre, il a dû se dénicher une nouvelle équipe à son grand désarroi et accepter une importante baisse salariale.
Le nouveau membre des Coyotes de Phoenix avait pourtant obtenu une entente verbale selon laquelle il signerait un nouveau contrat d'une saison avec les Capitals.
«C'est évident que je suis déçu de la façon dont les choses ont pris fin avec les Capitals», avoue Bélanger à RDS. «Ça fait huit semaines que je pensais continuer ma carrière avec les Capitals pour une saison.»
Consultez le blogue de Renaud Lavoie pour tous les détails à ce sujet.
Au-delà de ce revirement de situation, le vétéran de 32 ans représentera l'une des meilleures aubaines de la LNH avec un salaire de 750 000$ alors que les Capitals devaient lui verser 1,8 million.
Bélanger préfère tout de même aborder son nouveau défi avec optimisme.
«Il n'y a rien qui arrive pour rien dans la vie. Cette équipe me désirait depuis longtemps et je suis très heureux de me retrouver à Phoenix», raconte Bélanger. «J'ai une belle occasion qui se présente devant moi avec les Coyotes et j'espère pouvoir bien faire afin de m'entendre à long terme avec eux par la suite.»
Étouffés par le plafond salarial, les Capitals ont dû annoncer la mauvaise nouvelle à Bélanger ce qui a rompu son lien de confiance avec cette organisation.
«George McPhee (le directeur général) m'a avisé il y a un peu plus d'une semaine que s'il était incapable de compléter une transaction, il ne me signerait pas», dévoile-t-il.
«C'est sûr que ça ne faisait pas partie de notre entente parce que je n'aurais jamais accepté une telle situation», note avec conviction celui qui a amassé 41 points (15 buts, 26 passes) en 77 matchs la saison dernière.
Un mal pour un bien?
Malgré cette situation inattendue, le centre originaire de Sherbrooke se réjouit d'avoir été embauché par les Coyotes.
«Cette équipe était haute sur notre liste au début du mois de juillet (ouverture du marché des joueurs autonomes) sauf que les Coyotes devaient composer avec beaucoup de restrictions salariales en raison de leur contexte avec la Ligue nationale et les enjeux des propriétaires qui achètent présentement l'équipe.»
En bout de ligne, Bélanger a peut-être trouvé la destination idéale puisque les Coyotes désirent qu'il devienne une pièce maîtresse de leur formation.
«On m'a dit que je pourrais remplacer un joueur comme Matthew Lombardi (qui a signé avec les Predators de Nashville) en obtenant plusieurs responsabilités. J'ai discuté avec l'entraîneur Dave Tippett qui était un adjoint à mes deux premières années chez les Kings de Los Angeles et je me sens très désiré là-bas. Tu ne peux pas demander mieux en tant que joueur de hockey et je suis très impressionné par la façon dont ils ont géré mon dossier», indique celui qui n'a pas hésité à revenir au jeu après avoir perdu plusieurs dents contre le Canadien en séries.
«Depuis deux jours, j'ai beaucoup parlé avec Don Maloney (le directeur général) que je respecte beaucoup même si c'était difficile de faire confiance à d'autres dirigeants après ce qui s'est passé à Washington», conclut Bélanger qu'on pourrait difficilement contredire sur ce point.
*D'après une entrevue effectuée par Nicolas-Étienne Côté
Le nouveau membre des Coyotes de Phoenix avait pourtant obtenu une entente verbale selon laquelle il signerait un nouveau contrat d'une saison avec les Capitals.
«C'est évident que je suis déçu de la façon dont les choses ont pris fin avec les Capitals», avoue Bélanger à RDS. «Ça fait huit semaines que je pensais continuer ma carrière avec les Capitals pour une saison.»
Consultez le blogue de Renaud Lavoie pour tous les détails à ce sujet.
Au-delà de ce revirement de situation, le vétéran de 32 ans représentera l'une des meilleures aubaines de la LNH avec un salaire de 750 000$ alors que les Capitals devaient lui verser 1,8 million.
Bélanger préfère tout de même aborder son nouveau défi avec optimisme.
«Il n'y a rien qui arrive pour rien dans la vie. Cette équipe me désirait depuis longtemps et je suis très heureux de me retrouver à Phoenix», raconte Bélanger. «J'ai une belle occasion qui se présente devant moi avec les Coyotes et j'espère pouvoir bien faire afin de m'entendre à long terme avec eux par la suite.»
Étouffés par le plafond salarial, les Capitals ont dû annoncer la mauvaise nouvelle à Bélanger ce qui a rompu son lien de confiance avec cette organisation.
«George McPhee (le directeur général) m'a avisé il y a un peu plus d'une semaine que s'il était incapable de compléter une transaction, il ne me signerait pas», dévoile-t-il.
«C'est sûr que ça ne faisait pas partie de notre entente parce que je n'aurais jamais accepté une telle situation», note avec conviction celui qui a amassé 41 points (15 buts, 26 passes) en 77 matchs la saison dernière.
Un mal pour un bien?
Malgré cette situation inattendue, le centre originaire de Sherbrooke se réjouit d'avoir été embauché par les Coyotes.
«Cette équipe était haute sur notre liste au début du mois de juillet (ouverture du marché des joueurs autonomes) sauf que les Coyotes devaient composer avec beaucoup de restrictions salariales en raison de leur contexte avec la Ligue nationale et les enjeux des propriétaires qui achètent présentement l'équipe.»
En bout de ligne, Bélanger a peut-être trouvé la destination idéale puisque les Coyotes désirent qu'il devienne une pièce maîtresse de leur formation.
«On m'a dit que je pourrais remplacer un joueur comme Matthew Lombardi (qui a signé avec les Predators de Nashville) en obtenant plusieurs responsabilités. J'ai discuté avec l'entraîneur Dave Tippett qui était un adjoint à mes deux premières années chez les Kings de Los Angeles et je me sens très désiré là-bas. Tu ne peux pas demander mieux en tant que joueur de hockey et je suis très impressionné par la façon dont ils ont géré mon dossier», indique celui qui n'a pas hésité à revenir au jeu après avoir perdu plusieurs dents contre le Canadien en séries.
«Depuis deux jours, j'ai beaucoup parlé avec Don Maloney (le directeur général) que je respecte beaucoup même si c'était difficile de faire confiance à d'autres dirigeants après ce qui s'est passé à Washington», conclut Bélanger qu'on pourrait difficilement contredire sur ce point.
*D'après une entrevue effectuée par Nicolas-Étienne Côté