Les Leafs veulent sauver leur saison
Toronto Maple Leafs samedi, 3 mars 2012. 11:11 jeudi, 9 janv. 2025. 02:14
Brian Burke espère que l'électrochoc qu'il a donné à son équipe permettra aux Maple Leafs de faire les séries. C'est la mission qu'il a confiée à Randy Carlyle, avec qui il a mené les Ducks à la conquête de la Coupe Stanley en 2007.
Carlyle a signé une entente de trois ans en plus de compléter la présente saison.
« Nous partageons la même philosophie. Nous aimons les équipes très robustes. C'était un peu un point de divergence avec Ron Wilson », a dit Burke.
Burke a contacté Randy Carlyle mercredi après-midi. Après avoir discuté avec sa famille, Carlyle a pris la décision d'accepter l'offre de Brian Burke. Il a rencontré les joueurs vendredi soir.
« L'équipe est tendue et le niveau de confiance est très bas, estime le nouvel entraîneur-chef. Mais nous pouvons nous relever, notamment en misant davantage sur notre vitesse. »
Les Leafs sont présentement à cinq points des Jets de Winnipeg et du 8e rang dans l'Est. Ils ont toutefois deux matchs en main.
Les derniers jours ont été difficiles pour Burke, qui a dû congédier un ami en Ron Wilson. Il soutient qu'il devait prendre une décision pour l'équipe. Burke ne voulait pas que Ron Wilson dirige un autre match à Toronto, alors que les partisans ont réclamé son congédiement en cœur mardi dernier.
« Les fans paient leurs billets, ils ont le droit de huer. Mais je ne voulais pas que Ron Wilson ait à vivre un autre match au Air Canada Centre. »
Le directeur général des Maple Leafs explique aussi sa décision par le fait que Carlyle sera déjà bien en place à l'automne, ce qui évitera à l'équipe de perdre du temps.
Carlyle a eu carte blanche pour choisir ses adjoints, un groupe dont fera partie Dave Farrish, qui a travaillé avec lui à Anaheim. François Allaire demeurera l'entraîneur des gardiens de but.
Burke a considéré plusieurs candidats, dont Marc Crawford, l'ancien entraîneur-chef des Nordiques, des Canucks, des Kings et des Stars, avec qui il a travaillé à Vancouver, et l'entraîneur-chef des Marlies, Dallas Eakins.
Le directeur général dit qu'il a refusé plusieurs offres à la date limite des transactions. Il croit en son groupe de joueurs, qui est un des plus jeunes de la LNH.
Carlyle a signé une entente de trois ans en plus de compléter la présente saison.
« Nous partageons la même philosophie. Nous aimons les équipes très robustes. C'était un peu un point de divergence avec Ron Wilson », a dit Burke.
Burke a contacté Randy Carlyle mercredi après-midi. Après avoir discuté avec sa famille, Carlyle a pris la décision d'accepter l'offre de Brian Burke. Il a rencontré les joueurs vendredi soir.
« L'équipe est tendue et le niveau de confiance est très bas, estime le nouvel entraîneur-chef. Mais nous pouvons nous relever, notamment en misant davantage sur notre vitesse. »
Les Leafs sont présentement à cinq points des Jets de Winnipeg et du 8e rang dans l'Est. Ils ont toutefois deux matchs en main.
Les derniers jours ont été difficiles pour Burke, qui a dû congédier un ami en Ron Wilson. Il soutient qu'il devait prendre une décision pour l'équipe. Burke ne voulait pas que Ron Wilson dirige un autre match à Toronto, alors que les partisans ont réclamé son congédiement en cœur mardi dernier.
« Les fans paient leurs billets, ils ont le droit de huer. Mais je ne voulais pas que Ron Wilson ait à vivre un autre match au Air Canada Centre. »
Le directeur général des Maple Leafs explique aussi sa décision par le fait que Carlyle sera déjà bien en place à l'automne, ce qui évitera à l'équipe de perdre du temps.
Carlyle a eu carte blanche pour choisir ses adjoints, un groupe dont fera partie Dave Farrish, qui a travaillé avec lui à Anaheim. François Allaire demeurera l'entraîneur des gardiens de but.
Burke a considéré plusieurs candidats, dont Marc Crawford, l'ancien entraîneur-chef des Nordiques, des Canucks, des Kings et des Stars, avec qui il a travaillé à Vancouver, et l'entraîneur-chef des Marlies, Dallas Eakins.
Le directeur général dit qu'il a refusé plusieurs offres à la date limite des transactions. Il croit en son groupe de joueurs, qui est un des plus jeunes de la LNH.