Alexandre Burrows se dit ouvert à l'idée de jouer à Montréal, un club figurant « sur sa liste »
On jase mardi, 24 janv. 2017. 16:27 mardi, 24 janv. 2017. 16:27Même s'il apprécie la longévité qu'il connaît dans l'organisation des Canucks de Vancouver et qu'il se dit fier de la loyauté que lui a témoigné l'équipe qui lui a octroyé un contrat en 2003, l'attaquant québécois Alexandre Burrows se dit conscient qu'il pourrait être appelé à changer d'adresse avant le 1er mars prochain.
Dans une entrevue accordée à Martin Lemay au micro de l'émission On jase, l'ailier gauche de 35 ans a bien voulu commenter la perspective de porter de nouvelles couleurs après une quinzaine d'années passées dans l'organisation de Vancouver.
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« De la manière que j'analyse ça, la meilleure chose à faire c'est d'y aller un jour à la fois cette saison et de voir ce qui se produit quand va approcher la date limite des échanges. Si le directeur général (Jim Benning) m'approche pour discuter d'une transaction possible, je vais m'asseoir avec mon agent et ma femme afin de prendre une décision éclairée », a-t-il noté.
S'il en venait à devoir faire un choix parmi plusieurs formations intéresssées à l'ajouter à leur noyau, Burrows opterait pour une formation ayant de bonnes chances d'accéder à la finale de la coupe Stanley. Du lot, il avoue que le Tricolore aurait une place privilégiée dans son coeur.
« J'aimerais aspirer aux grands honneurs. Pour l'instant, je suis content d'être toujours dans la course avec les Canucks. J'espère faire les séries avec eux. Mais si jamais ça ne fonctionnait et que le Canadien était une des destinations possibles, c'est certain qu'il serait sur ma liste. J'aime leur équipe. Ils devraient à mon avis sortir de leur division après les deux premiers tours. Ils ont un excellent gardien, une bonne offensive et une bonne défensive en plus d'être bien coachés », a-t-il confié.
En 42 parties cette saison, le vétéran joueur d'avant a amassé sept buts et neuf aides pour un total de 16 points. Il affiche un différentiel de +1 et a écopé de 35 minutes de pénalité.
Il passe en moyenne 14 minutes et 37 secondes par match sur la surface glacée.