Passer au contenu principal

RÉSULTATS

Siakam remercie la ville de Toronto et ses partisans

Pascal Siakam Pascal Siakam - PC
Publié
Mise à jour

Deux jours après son échange l'envoyant aux Pacers d'Indiana, Pascal Siakam a remercié les partisans des Raptors de Toronto dans une lettre pour le Players' Tribune.

L'athlète de 29 ans a passé les sept premières années de sa carrière à Toronto et a été un élément clé du premier et unique championnat de l'équipe en 2019. Repêché au 27e rang en 2016, Siakam a terminé sa carrière avec les Raptors dans le top cinq de la franchise pour les matchs joués, les points, les rebonds et les passes décisives.

Siakam a déclaré que malgré les rumeurs, Toronto était le seul endroit où il souhaitait jouer. 

« À un moment donné, les Raptors ont fait savoir qu'ils allaient dans une direction différente et qu'ils ne voulaient pas me prolonger, et un échange était définitivement sur le point d'avoir lieu, a écrit Siakam. Mon agent m'a alors demandé « P, où te vois-tu? ».

« Je vais être honnête dans ce que j'ai répondu. Je me disais : « Où est-ce que je me vois? Eh bien... Toronto. Je sentais que je pouvais faire partie de ces gars qui passent toute leur carrière dans une seule équipe. C'était ma mentalité, même avec les rumeurs.

Le Camerounais a ensuite remercié la ville et les partisans de l'équipe. 

« Rien de tout ça ne change ce que Toronto signifie pour moi et ce que cette ville continuera de signifier. C'est la principale chose que je voulais dire à tout le monde : c'est chez moi, a déclaré Siakam. 

« En ce qui concerne les partisans, je veux dire quelque chose. C'est tellement d'amour. Pas seulement l'amour que je ressens pour eux, mais celui que j'ai partagé avec eux. La façon dont les gens au Canada sont tombés amoureux des Raptors pendant que j'étais ici, c'est comme si cela s'était produit de la bonne manière, au bon moment. Quand nous étions vraiment prêts pour cela – et que nous en avions besoin. En 2019, nous avons vraiment senti que ce championnat n'appartenait pas seulement qu'à l'équipe, mais qu'il appartenait aussi à tous les gens au Canada qui étaient derrière nous. »