STRIKEBOX : une finale controversée
AMM vendredi, 6 févr. 2009. 23:36 jeudi, 12 déc. 2024. 03:52
Le premier gala de l'organisation STRIKEBOX, organisé vendredi soir à Montréal, s'est terminé dans la controverse.
L'arbitre du combat principal opposant Steve Bossé à James Thompson, Yves Lavigne, a mis fin au duel dès le premier round quand l'Anglais a décidé d'apporter son adversaire au sol. Aucun des deux pugilistes n'a été déclaré vainqueur (no contest).
Le strikeboxing ressemble aux arts martiaux mixtes, à la différence que les combattants ne peuvent se battre au sol. Dès que l'un des combattants est au tapis, que ce soit à la suite d'un coup ou à la suite d'une projection, les deux athlètes doivent revenir en position debout.
Le hic, c'est que le promoteur de l'événement, Stéphane Patry, n'a toujours pas obtenu de permis officiel pour organiser un gala selon les règles de la discipline. Le bon déroulement de la soirée dépendait donc d'un accord verbal qu'avaient conclu tous les combattants avant le lancement des hostilités, mais Thompson est le seul a ne pas avoir respecté sa partie de l'entente.
Le dénouement du combat entre Bossé et Thompson fera l'objet d'une enquête par la Régie des sports de combat du Québec.
L'arbitre du combat principal opposant Steve Bossé à James Thompson, Yves Lavigne, a mis fin au duel dès le premier round quand l'Anglais a décidé d'apporter son adversaire au sol. Aucun des deux pugilistes n'a été déclaré vainqueur (no contest).
Le strikeboxing ressemble aux arts martiaux mixtes, à la différence que les combattants ne peuvent se battre au sol. Dès que l'un des combattants est au tapis, que ce soit à la suite d'un coup ou à la suite d'une projection, les deux athlètes doivent revenir en position debout.
Le hic, c'est que le promoteur de l'événement, Stéphane Patry, n'a toujours pas obtenu de permis officiel pour organiser un gala selon les règles de la discipline. Le bon déroulement de la soirée dépendait donc d'un accord verbal qu'avaient conclu tous les combattants avant le lancement des hostilités, mais Thompson est le seul a ne pas avoir respecté sa partie de l'entente.
Le dénouement du combat entre Bossé et Thompson fera l'objet d'une enquête par la Régie des sports de combat du Québec.