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Ouverture du camp des Blue Jackets avec Pascal Vincent aux commandes

Pascal Vincent Pascal Vincent - Blue Jackets
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Pascal Vincent se préparait depuis longtemps pour l'ouverture du camp d'entraînement. Il avait établi ce qui serait accompli par les Blue Jackets au quotidien, tant pour leurs séances hors glace que sur la patinoire.

La tâche de diriger ce camp devait cependant revenir à Mike Babcock, mais en raison de la controverse qui a mené à la démission hâtive de l'entraîneur, c'est à Vincent d'établir les bases de la nouvelle saison.

Si Vincent a vécu une tornade d'émotions et a eu bien peu de temps pour prendre du repos au cours des derniers, il peut compter sur le soutien indéniable de ses joueurs qui ont beaucoup de respect pour lui.

« ‘'Pazzi'' est un gars qui est là depuis longtemps, a déclaré le centre Sean Kuraly. Nous le connaissons personnellement depuis les deux dernières saisons. Il a le respect de la chambre. C'est un homme de hockey intelligent. Il est prêt pour ça et nous sommes prêts pour ce camp. »

La tâche de Vincent ne sera pas exempte de défis pour autant, car les Blue Jackets (25-48-9) ont terminé derniers de la division métropolitaine et ont manqué les séries éliminatoires de la Coupe Stanley pour une troisième saison consécutive

« Nous avons de l'énergie, de l'envie, a-t-il déclaré. Nous pensons donc que nous avons ce qu'il faut pour réussir. »

Pour le vétéran Erik Gudbranson, les évènements qui ont marqué la dernière semaine à Columbus auront certainement un effet bénéfique sur le groupe.

« Vous savez, il arrive souvent que des situations peu glorieuses vous rapprochent immédiatement, Et nous sommes très heureux que Pazzi soit à la tête de l'équipe », a déclaré le défenseur.

Même si ces fonctions sont différentes, Pascal se préparait depuis longtemps pour l'ouverture de la campagne et il ne changera pas sa façon de diriger pour autant.

« Nous avons beaucoup de joueurs, alors nous avons essayé de simplifier les choses dans le sens où nous ne voulions pas faire de changements pendant au moins les trois premiers jours et nous sommes partis de là », a précisé l'entraîneur québécois de 52 ans.