Alex Kovalev a déjà vu neiger
Hockey dimanche, 20 avr. 2008. 20:40 jeudi, 21 nov. 2024. 19:01
MONTRÉAL - Alex Kovalev en sera à sa sixième présence dans un match numéro sept en séries éliminatoires. Il s'est retrouvé dans le camp des vainqueurs les cinq premières fois. Le Canadien espère que les succès du Russe soient un présage.
Kovalev est un des vétérans de l'équipe - en compagnie des Bryan Smolinski, Saku Koivu, Andrei Markov et Roman Hamrlik - qui sera appelé à jouer un rôle important, lundi, à l'occasion du match de mort subite contre les Bruins de Boston.
Pointé indirectement du doigt par l'entraîneur Guy Carbonneau, au terme de la défaite de 5-4 samedi, il a des choses à se faire pardonner. Il a été sur la glace pour trois des quatre buts des Bruins, en troisième période.
Carbonneau a indiqué, dimanche, qu'il va s'efforcer de soustraire Kovalev à la surveillance étroite du géant défenseur Zdeno Chara. Ce que l'avantage de la glace lui permet de faire.
Si Carbo a autant de succès que les gens des relations avec la presse en ont eu à le soustraire à l'attention des médias, dimanche, Kovalev va avoir plus d'espace sur la glace.
Indisponible dans le vestiaire, Kovalev a décliné toute demande d'entrevue à sa sortie du Centre Bell, dimanche.
Smolinski est le joueur des deux équipes qui a le plus de septièmes matchs derrière la cravate, soit sept. Il ne s'est retrouvé du côté des gagnants que deux fois.
"C'est très le 'fun' (un septième match), a lancé Smolinski, particulièrement quand vous le disputez devant vos partisans. Les encouragements des amateurs vont être importants. Si on fournit l'effort, tout devrait bien aller."
Carbonneau a mentionné que la principale tâche des vétérans sera de diminuer le niveau de stress de leurs jeunes coéquipiers.
"Ils vont leur parler, je suis sûr, au cours du souper d'équipe ce soir (dimanche) ainsi que demain (lundi) avant la séance d'entraînement du matin, avant le match et même entre les périodes."
Sur le plan personnel, Carbo n'envisage pas d'y aller de grands discours.
"On va s'attarder sur des aspects techniques et tactiques, ce qu'on a fait de bon et les choses qu'on doit améliorer. Rendu à ce stade, tout le monde connaît l'importance de l'enjeu. On va surtout s'assurer que les gars soient prêts à rivaliser très fort."
Le message de Koivu
Le capitaine Saku Koivu n'entend également pas livrer de message particulier à ses coéquipiers.
"On doit garder notre sang-froid et tout recentrer sur ce qu'on doit accomplir, a dit Koivu. Si tout le monde s'acquitte de sa tâche, ça va bien se passer. Il ne sert à rien de se préoccuper du résultat.
"On sait dans quelle position on se retrouve. Les Bruins ont le vent dans les voiles. On doit mettre de côté ce qui s'est passé samedi, et jouer notre match, a-t-il enchaîné. On ne demande pas l'impossible à personne, uniquement que tous et chacun se serrent les coudes et fassent son travail."
Affirmant que les vétérans montreront la voie aux jeunes, Koivu a rappelé que le Tricolore n'a pas été l'équipe d'un seul joueur ou d'un seul trio pendant toute la saison.
"On sait ce qu'on doit faire afin d'avoir du succès. On doit éviter de tomber dans le piège d'essayer de trop en faire, tout en maîtrisant nos émotions.
Kovalev est un des vétérans de l'équipe - en compagnie des Bryan Smolinski, Saku Koivu, Andrei Markov et Roman Hamrlik - qui sera appelé à jouer un rôle important, lundi, à l'occasion du match de mort subite contre les Bruins de Boston.
Pointé indirectement du doigt par l'entraîneur Guy Carbonneau, au terme de la défaite de 5-4 samedi, il a des choses à se faire pardonner. Il a été sur la glace pour trois des quatre buts des Bruins, en troisième période.
Carbonneau a indiqué, dimanche, qu'il va s'efforcer de soustraire Kovalev à la surveillance étroite du géant défenseur Zdeno Chara. Ce que l'avantage de la glace lui permet de faire.
Si Carbo a autant de succès que les gens des relations avec la presse en ont eu à le soustraire à l'attention des médias, dimanche, Kovalev va avoir plus d'espace sur la glace.
Indisponible dans le vestiaire, Kovalev a décliné toute demande d'entrevue à sa sortie du Centre Bell, dimanche.
Smolinski est le joueur des deux équipes qui a le plus de septièmes matchs derrière la cravate, soit sept. Il ne s'est retrouvé du côté des gagnants que deux fois.
"C'est très le 'fun' (un septième match), a lancé Smolinski, particulièrement quand vous le disputez devant vos partisans. Les encouragements des amateurs vont être importants. Si on fournit l'effort, tout devrait bien aller."
Carbonneau a mentionné que la principale tâche des vétérans sera de diminuer le niveau de stress de leurs jeunes coéquipiers.
"Ils vont leur parler, je suis sûr, au cours du souper d'équipe ce soir (dimanche) ainsi que demain (lundi) avant la séance d'entraînement du matin, avant le match et même entre les périodes."
Sur le plan personnel, Carbo n'envisage pas d'y aller de grands discours.
"On va s'attarder sur des aspects techniques et tactiques, ce qu'on a fait de bon et les choses qu'on doit améliorer. Rendu à ce stade, tout le monde connaît l'importance de l'enjeu. On va surtout s'assurer que les gars soient prêts à rivaliser très fort."
Le message de Koivu
Le capitaine Saku Koivu n'entend également pas livrer de message particulier à ses coéquipiers.
"On doit garder notre sang-froid et tout recentrer sur ce qu'on doit accomplir, a dit Koivu. Si tout le monde s'acquitte de sa tâche, ça va bien se passer. Il ne sert à rien de se préoccuper du résultat.
"On sait dans quelle position on se retrouve. Les Bruins ont le vent dans les voiles. On doit mettre de côté ce qui s'est passé samedi, et jouer notre match, a-t-il enchaîné. On ne demande pas l'impossible à personne, uniquement que tous et chacun se serrent les coudes et fassent son travail."
Affirmant que les vétérans montreront la voie aux jeunes, Koivu a rappelé que le Tricolore n'a pas été l'équipe d'un seul joueur ou d'un seul trio pendant toute la saison.
"On sait ce qu'on doit faire afin d'avoir du succès. On doit éviter de tomber dans le piège d'essayer de trop en faire, tout en maîtrisant nos émotions.