Le CH connaît un bien meilleur départ
Hockey mercredi, 27 oct. 2010. 23:39 samedi, 23 nov. 2024. 07:30
MONTRÉAL - Le Canadien connaît un bien meilleur début de saison que la saison dernière, avec cinq points de plus à sa fiche après neuf matchs - soit 13 comparativement à huit.
"La condition physique générale de l'équipe est un des facteurs, a reconnu l'entraîneur Jacques Martin, à l'issue de la sixième victoire du Tricolore. Le fait que nous n'ayons apporté que peu de changements à la formation et que la plupart des joueurs connaissent les stratégies en sont d'autres. L'entente entre les gars est également meilleure."
Martin a souligné l'excellente tâche dont s'acquitte le groupe de leaders de l'équipe, particulièrement les quatre joueurs qui ont déjà gagné la coupe Stanley - Brian Gionta, Scott Gomez, Travis Moen et Hal Gill.
"Ce ne sont que neuf matchs. Nous n'avons rien accompli encore", a résumé Martin, quand on lui a souligné que les joueurs paraissaient garder les pieds sur terre.
Le meilleur marqueur de l'équipe, Tomas Plekanec, a dit que ses coéquipiers et lui jouent avec énormément de confiance actuellement.
"Nous savons ce que nous faisons sur la glace. Tout le monde se connaît beaucoup mieux que la saison dernière. Les dirigeants ont greffé quelques bons éléments au noyau. Nous sommes tous sur la même longueur d'ondes."
Le Tchèque n'attribue pas à un entraînement estival plus intense l'excellent début de saison qu'il connaît.
"Je n'ai rien fait de différent par rapport aux étés précédents, a-t-il soutenu. Plus souvent qu'autrement, les succès que vous connaissez ont plus à voir avec votre état d'esprit que votre forme. Psychologiquement, tout va très bien."
Interrogé sur les succès du trio qu'il pivote, Plekanec a répondu qu'il est trop tôt pour s'enflammer.
"Vous voyez comment Andrei joue depuis le début. C'est beau à voir. Mais je ne veux pas trop vanter notre travail parce que c'est encore très tôt dans la saison. Andrei s'illustre et Michael Cammalleri, même s'il souhaiterait sans doute avoir plus de buts à son dossier, fait de l'excellent travail en échec-avant. Moi, j'essaie simplement de faire mon travail et d'être solide en défense."
Le Canadien accorde beaucoup moins de lancers par rapport à la saison dernière.
Cammalleri a expliqué que le mot d'ordre n'a pas été donné de diminuer le total de tirs accordés.
"On ne joue pas en se disant que nous devons permettre moins de lancers. Nous faisons ce que nous avons à faire, et ça fonctionne. Le plan de Jacques Martin n'est pas compliqué. Plusieurs personnes pensent qu'il consiste à resserrer le jeu en défense à outrance. Ce n'est pas du tout ça. Il n'y a rien de déraisonnable dans ce qu'il nous demande. Nous avons quand même beaucoup de lattitude."
Wisniewski mécontent
Dans le camp des Islanders, le défenseur James Wisniewski a dénoncé le geste de Travis Moen à son endroit.
"Ce genre de coup peut vous paralyser pour la vie. Ils n'ont pas leur place au hockey. Je connais Moen. Il a été mon coéquipier à Anaheim, il y a deux ans. Je sais quel type de joueur il est. Mais il n'y a aucune excuse qui tienne. J'étais dans une position vulnérable et il m'a frappé par derrière, à quelques pieds de la bande.
"Ça mérite une amende ou une suspension. La ligue veut éliminer les coups à la tête. On ne peut pas tolérer des gestes semblables", a-t-il conclu.
"La condition physique générale de l'équipe est un des facteurs, a reconnu l'entraîneur Jacques Martin, à l'issue de la sixième victoire du Tricolore. Le fait que nous n'ayons apporté que peu de changements à la formation et que la plupart des joueurs connaissent les stratégies en sont d'autres. L'entente entre les gars est également meilleure."
Martin a souligné l'excellente tâche dont s'acquitte le groupe de leaders de l'équipe, particulièrement les quatre joueurs qui ont déjà gagné la coupe Stanley - Brian Gionta, Scott Gomez, Travis Moen et Hal Gill.
"Ce ne sont que neuf matchs. Nous n'avons rien accompli encore", a résumé Martin, quand on lui a souligné que les joueurs paraissaient garder les pieds sur terre.
Le meilleur marqueur de l'équipe, Tomas Plekanec, a dit que ses coéquipiers et lui jouent avec énormément de confiance actuellement.
"Nous savons ce que nous faisons sur la glace. Tout le monde se connaît beaucoup mieux que la saison dernière. Les dirigeants ont greffé quelques bons éléments au noyau. Nous sommes tous sur la même longueur d'ondes."
Le Tchèque n'attribue pas à un entraînement estival plus intense l'excellent début de saison qu'il connaît.
"Je n'ai rien fait de différent par rapport aux étés précédents, a-t-il soutenu. Plus souvent qu'autrement, les succès que vous connaissez ont plus à voir avec votre état d'esprit que votre forme. Psychologiquement, tout va très bien."
Interrogé sur les succès du trio qu'il pivote, Plekanec a répondu qu'il est trop tôt pour s'enflammer.
"Vous voyez comment Andrei joue depuis le début. C'est beau à voir. Mais je ne veux pas trop vanter notre travail parce que c'est encore très tôt dans la saison. Andrei s'illustre et Michael Cammalleri, même s'il souhaiterait sans doute avoir plus de buts à son dossier, fait de l'excellent travail en échec-avant. Moi, j'essaie simplement de faire mon travail et d'être solide en défense."
Le Canadien accorde beaucoup moins de lancers par rapport à la saison dernière.
Cammalleri a expliqué que le mot d'ordre n'a pas été donné de diminuer le total de tirs accordés.
"On ne joue pas en se disant que nous devons permettre moins de lancers. Nous faisons ce que nous avons à faire, et ça fonctionne. Le plan de Jacques Martin n'est pas compliqué. Plusieurs personnes pensent qu'il consiste à resserrer le jeu en défense à outrance. Ce n'est pas du tout ça. Il n'y a rien de déraisonnable dans ce qu'il nous demande. Nous avons quand même beaucoup de lattitude."
Wisniewski mécontent
Dans le camp des Islanders, le défenseur James Wisniewski a dénoncé le geste de Travis Moen à son endroit.
"Ce genre de coup peut vous paralyser pour la vie. Ils n'ont pas leur place au hockey. Je connais Moen. Il a été mon coéquipier à Anaheim, il y a deux ans. Je sais quel type de joueur il est. Mais il n'y a aucune excuse qui tienne. J'étais dans une position vulnérable et il m'a frappé par derrière, à quelques pieds de la bande.
"Ça mérite une amende ou une suspension. La ligue veut éliminer les coups à la tête. On ne peut pas tolérer des gestes semblables", a-t-il conclu.