Ankara et Athènes coopèreront pour renforcer la sécurité
Jeux olympiques mardi, 21 oct. 2003. 12:09 vendredi, 14 mars 2025. 18:23
ATHENES (AFP) - La Grèce et la Turquie vont accroître l'échange d'informations et de données afin de renforcer la sécurité aux Jeux olympiques de 2004 à Athènes, ont annoncé mardi les ministres des Affaires étrangères des deux pays.
"Nous avons eu l'opportunité de discuter d'une coopération directe lors des Jeux (...), une coopération en matière de sécurité", a dit le chef de la diplomatie grecque Georges Papandréou devant la presse, à l'occasion d'une visite officielle de deux jours à Athènes de son homologue turc Abdullah Gul.
Le ministre grec a souligné que la coopération concernait un échange d'informations sur les mouvements aux frontières terrestre et maritime des deux pays voisins, précisant que celle-ci "(avait) déjà commencé".
La Grèce et la Turquie sont situées sur une voie de passage des
candidats à l'immigration vers l'Europe de l'ouest.
"En tant que pays voisin, il nous incombe d'accomplir certaines tâches pour aider à la préparation globale des Olympiques", a pour sa part affirmé M. Gul, qui a souhaité que l'événement soit "couronné de succès".
Il a ajouté que des experts des deux pays allaient se consulter pour déterminer les mesures à adopter dans le domaine de la sécurité, en prévision des Olympiques.
Les deux hommes se sont exprimés lors d'une cérémonie de signature par M. Gul d'une déclaration "symbolique" l'engageant, à titre personnel, à promouvoir le principe d'une trêve olympique pendant les Jeux de 2004, sur le modèle de la cessation des hostilités lors des Jeux antiques.
"Nous avons eu l'opportunité de discuter d'une coopération directe lors des Jeux (...), une coopération en matière de sécurité", a dit le chef de la diplomatie grecque Georges Papandréou devant la presse, à l'occasion d'une visite officielle de deux jours à Athènes de son homologue turc Abdullah Gul.
Le ministre grec a souligné que la coopération concernait un échange d'informations sur les mouvements aux frontières terrestre et maritime des deux pays voisins, précisant que celle-ci "(avait) déjà commencé".
La Grèce et la Turquie sont situées sur une voie de passage des
candidats à l'immigration vers l'Europe de l'ouest.
"En tant que pays voisin, il nous incombe d'accomplir certaines tâches pour aider à la préparation globale des Olympiques", a pour sa part affirmé M. Gul, qui a souhaité que l'événement soit "couronné de succès".
Il a ajouté que des experts des deux pays allaient se consulter pour déterminer les mesures à adopter dans le domaine de la sécurité, en prévision des Olympiques.
Les deux hommes se sont exprimés lors d'une cérémonie de signature par M. Gul d'une déclaration "symbolique" l'engageant, à titre personnel, à promouvoir le principe d'une trêve olympique pendant les Jeux de 2004, sur le modèle de la cessation des hostilités lors des Jeux antiques.