Claude Julien s'en prend à M. Lapierre
Hockey lundi, 6 juin 2011. 15:30 vendredi, 22 nov. 2024. 02:04
BOSTON - Claude Julien n'est pas un partisan de Maxim Lapierre.
Quelques heures avant le troisième match de la finale de la coupe Stanley, l'entraîneur des Bruins de Boston a suggéré que Lapierre a offert une «parodie» de son sport en se moquant de Patrice Bergeron avec son gant lors du match de samedi soir à Vancouver. Bergeron s'était fait mordre le doigt par l'attaquant des Canucks Alex Burrows lors du premier match.
S'adressant à des journalistes en français lors de l'entraînement matinal, Julien a prétendu que les singeries de Lapierre sur la patinoire sont méprisés tant par les joueurs de sa propre équipe que par ceux qu'il affronte.
«C'est peut-être l'une des raisons pour lesquelles il a joué pour trois équipes cette année», a déclaré Julien en français.
Julien est mécontent que Burrows n'ait pas été suspendu pour son geste une décision importante puisque c'est ce dernier qui a marqué le but victorieux en prolongation dans le deuxième match.
«La ligue a pris une décision dans le cas de Burrows et, si les Canucks décident d'en faire une farce, c'est leur choix, a poursuivi Julien. Si c'est leur façon de faire, ainsi soit-il.
«Nous ne pouvons pas perdre notre temps avec ce genre de choses. Nous devons vraiment nous concentrer sur ce que nous avons à faire. La dernière fois que j'ai regardé, nous tirons de l'arrière 2-0, et toute notre énergie doit aller dans cette direction.»
En effet, les Bruins ont creusé eux-mêmes leur tombe en subissant deux défaites à Vancouver.
Julien a refusé de dire s'il envisage des changements à sa formation, comme l'ajout du dur à cuire Shawn Thornton pour la première fois depuis la finale de la conférence Est contre le Lightning de Tampa. Thornton est le favori des amateurs au TD Garden et il a prédit une atmosphère survoltée pour le premier match de la finale de la coupe Stanley dans la ville depuis 1990 se questionnant même à savoir si les partisans des Canucks, dont les hommes en vert, sont assez courageux pour faire le déplacement.
«Boston est une ville très passionnée, a déclaré Thornton. J'espère juste qu'ils sortent d'ici en toute sécurité.»
Il est peu probable que les Canucks apportent des modifications à leur formule gagnante des deux premiers matchs. Le défenseur Dan Hamhuis demeure sur la touche avec une blessure au bas du corps qu'il a subie lors du premier match et il n'a pas patiné depuis Andrew Alberts continuera probablement à le remplacer.
En l'absence de changements à la formation, l'histoire de l'incident de la morsure continue de défrayer la manchette.
Julien et Lapierre se connaissent. Julien était l'entraîneur du Canadien de Montréal lorsque l'attaquant a fait ses débuts dans la LNH en 2005-06.
Une chose qui est clair pour l'entraîneur des Bruins, c'est qu'il ne verrait pas d'un bon œil que l'un de ses joueurs agite son gant au visage d'un adversaire
«Je ne peux pas vraiment parler de leur équipe, a dit Julien. Ce ne sont pas mes joueurs. Je n'ai pas à composer avec eux individuellement. Si les Canucks jugent que ce sont des comportements qui sont acceptables pour eux, très bien. Mais ces comportements ne seraient pas acceptables de notre côté.»
Pour sa part, Lapierre a refusé de répondre aux questions concernant l'incident ou aux commentaires de Julien.
«Ce n'est pas le temps d'embarquer dans ces histoires. Il y a un gros match à disputer ce soir, et c'est tout ce qui compte», a-t-il expliqué dans le vestiaire des Canucks.
Quelques heures avant le troisième match de la finale de la coupe Stanley, l'entraîneur des Bruins de Boston a suggéré que Lapierre a offert une «parodie» de son sport en se moquant de Patrice Bergeron avec son gant lors du match de samedi soir à Vancouver. Bergeron s'était fait mordre le doigt par l'attaquant des Canucks Alex Burrows lors du premier match.
S'adressant à des journalistes en français lors de l'entraînement matinal, Julien a prétendu que les singeries de Lapierre sur la patinoire sont méprisés tant par les joueurs de sa propre équipe que par ceux qu'il affronte.
«C'est peut-être l'une des raisons pour lesquelles il a joué pour trois équipes cette année», a déclaré Julien en français.
Julien est mécontent que Burrows n'ait pas été suspendu pour son geste une décision importante puisque c'est ce dernier qui a marqué le but victorieux en prolongation dans le deuxième match.
«La ligue a pris une décision dans le cas de Burrows et, si les Canucks décident d'en faire une farce, c'est leur choix, a poursuivi Julien. Si c'est leur façon de faire, ainsi soit-il.
«Nous ne pouvons pas perdre notre temps avec ce genre de choses. Nous devons vraiment nous concentrer sur ce que nous avons à faire. La dernière fois que j'ai regardé, nous tirons de l'arrière 2-0, et toute notre énergie doit aller dans cette direction.»
En effet, les Bruins ont creusé eux-mêmes leur tombe en subissant deux défaites à Vancouver.
Julien a refusé de dire s'il envisage des changements à sa formation, comme l'ajout du dur à cuire Shawn Thornton pour la première fois depuis la finale de la conférence Est contre le Lightning de Tampa. Thornton est le favori des amateurs au TD Garden et il a prédit une atmosphère survoltée pour le premier match de la finale de la coupe Stanley dans la ville depuis 1990 se questionnant même à savoir si les partisans des Canucks, dont les hommes en vert, sont assez courageux pour faire le déplacement.
«Boston est une ville très passionnée, a déclaré Thornton. J'espère juste qu'ils sortent d'ici en toute sécurité.»
Il est peu probable que les Canucks apportent des modifications à leur formule gagnante des deux premiers matchs. Le défenseur Dan Hamhuis demeure sur la touche avec une blessure au bas du corps qu'il a subie lors du premier match et il n'a pas patiné depuis Andrew Alberts continuera probablement à le remplacer.
En l'absence de changements à la formation, l'histoire de l'incident de la morsure continue de défrayer la manchette.
Julien et Lapierre se connaissent. Julien était l'entraîneur du Canadien de Montréal lorsque l'attaquant a fait ses débuts dans la LNH en 2005-06.
Une chose qui est clair pour l'entraîneur des Bruins, c'est qu'il ne verrait pas d'un bon œil que l'un de ses joueurs agite son gant au visage d'un adversaire
«Je ne peux pas vraiment parler de leur équipe, a dit Julien. Ce ne sont pas mes joueurs. Je n'ai pas à composer avec eux individuellement. Si les Canucks jugent que ce sont des comportements qui sont acceptables pour eux, très bien. Mais ces comportements ne seraient pas acceptables de notre côté.»
Pour sa part, Lapierre a refusé de répondre aux questions concernant l'incident ou aux commentaires de Julien.
«Ce n'est pas le temps d'embarquer dans ces histoires. Il y a un gros match à disputer ce soir, et c'est tout ce qui compte», a-t-il expliqué dans le vestiaire des Canucks.