P.K. Subban a hâte de jouer à Boston
Boston Bruins mercredi, 10 nov. 2010. 15:46 lundi, 25 nov. 2024. 15:37
BROSSARD - Un affrontement Canadien-Bruins n'est jamais banal. Le premier cette saison revêt un cachet particulier pour P.K. Subban parce qu'il s'agit de sa toute première visite à Boston.
Le défenseur recrue ne doit toutefois pas s'attendre à ce qu'on lui déroule le tapis rouge au TD Banknorth Garden, jeudi.
"Je ne sais pas à quoi m'attendre, et aucun coéquipier ne m'a parlé de ce qui m'attend. Ce voyage sera pour moi une nouvelle expérience sur toute la ligne", a affirmé le défenseur recrue, mercredi, avant le départ du CH.
Subban sera plus fébrile qu'à l'accoutumée, même s'il se répétera que c'est un match comme les autres.
"C'est sûr que je vais avoir les yeux ronds pendant la séance matinale d'entraînement et que je vais regarder tout partout dans l'amphithéâtre.
"Au bout du compte, c'est un match de hockey. On va le jouer et faire en sorte de récolter deux points au classement."
Subban s'attend d'être rapidement envoyé dans le bain de la rivalité qui existe entre les équipes.
"Je ne connais rien au sujet de la rivalité, mais je vais sûrement y être initié dès ma première présence sur la glace. Ça va être amusant. Chacun des matchs contre les rivaux de notre section sont très plaisants à jouer."
Légende urbaine
Subban s'est même retrouvé, mercredi, au centre d'une légende urbaine impliquant Milan Lucic. On prêtait au gaillard des Bruins l'intention de régler le cas du jeune défenseur s'il se met à faire des tourniquets devant lui. Quelques vérifications nous ont permis de constater que ce n'était qu'un pétard mouillé.
Subban s'est esclaffé quand on lui a rapporté les "pseudo-propos" de Lucic comme étant véridiques.
"Il n'est pas le seul qui n'apprécie pas de me voir faire mes tourniquets", a-t-il lancé, avant d'ajouter qu'il ne dirait rien de mauvais à l'endroit de Lucic.
"Il est un joueur aguerri dans la ligue tandis que je ne suis qu'une verte recrue."
Guerre de tranchées
Jacques Martin aborde le match contre les Bruins - qui avaient une fiche de 7-3-1 avant de se mesurer aux Penguins de Pittsburgh, mercredi - comme celui de mardi face aux Canucks de Vancouver (victoire de 2-0). L'entraîneur devra convaincre ses troupiers de réenfiler leurs bottes de travail.
"C'est une équipe de premier plan qui mise sur un excellent duo de gardiens, a souligné l'entraîneur. Nous devons nous présenter là-bas dans un bon état d'esprit, prêts à livrer une guerre de tranchées."
Martin a dit qu'on ne doit pas s'attendre à un duel à caractère offensif parce que les Bruins viennent au deuxième rang de la ligue au chapitre des buts accordés et que le Canadien pointe en cinquième position.
Ce sera aussi une collision entre l'équipe qui présente le meilleur jeu de puissance de la LNH, à domicile, et celle qui affiche le meilleur taux d'efficacité en infériorité numérique, à l'étranger.
Les Bruins montrent un taux de réussite de 30 pour cent chez eux, en supériorité numérique. Après avoir muselé les meneurs de la ligue, mardi, le Canadien devra encore viser la perfection à Boston. Ou carrément éviter le banc des pénalités. En 28 situations d'infériorité sur la route jusqu'à maintenant, il n'a permis qu'un but - bon pour un taux de 96,4 pour cent.
À Boston, Martin n'aura pas le loisir d'opposer les trios qu'il veut à ceux des Bruins, comme il a pu le faire contre les Canucks au Centre Bell.
"Je ne suis pas un fervent, de toute façon, de la stratégie de jumeler les trios."
Le défenseur recrue ne doit toutefois pas s'attendre à ce qu'on lui déroule le tapis rouge au TD Banknorth Garden, jeudi.
"Je ne sais pas à quoi m'attendre, et aucun coéquipier ne m'a parlé de ce qui m'attend. Ce voyage sera pour moi une nouvelle expérience sur toute la ligne", a affirmé le défenseur recrue, mercredi, avant le départ du CH.
Subban sera plus fébrile qu'à l'accoutumée, même s'il se répétera que c'est un match comme les autres.
"C'est sûr que je vais avoir les yeux ronds pendant la séance matinale d'entraînement et que je vais regarder tout partout dans l'amphithéâtre.
"Au bout du compte, c'est un match de hockey. On va le jouer et faire en sorte de récolter deux points au classement."
Subban s'attend d'être rapidement envoyé dans le bain de la rivalité qui existe entre les équipes.
"Je ne connais rien au sujet de la rivalité, mais je vais sûrement y être initié dès ma première présence sur la glace. Ça va être amusant. Chacun des matchs contre les rivaux de notre section sont très plaisants à jouer."
Légende urbaine
Subban s'est même retrouvé, mercredi, au centre d'une légende urbaine impliquant Milan Lucic. On prêtait au gaillard des Bruins l'intention de régler le cas du jeune défenseur s'il se met à faire des tourniquets devant lui. Quelques vérifications nous ont permis de constater que ce n'était qu'un pétard mouillé.
Subban s'est esclaffé quand on lui a rapporté les "pseudo-propos" de Lucic comme étant véridiques.
"Il n'est pas le seul qui n'apprécie pas de me voir faire mes tourniquets", a-t-il lancé, avant d'ajouter qu'il ne dirait rien de mauvais à l'endroit de Lucic.
"Il est un joueur aguerri dans la ligue tandis que je ne suis qu'une verte recrue."
Guerre de tranchées
Jacques Martin aborde le match contre les Bruins - qui avaient une fiche de 7-3-1 avant de se mesurer aux Penguins de Pittsburgh, mercredi - comme celui de mardi face aux Canucks de Vancouver (victoire de 2-0). L'entraîneur devra convaincre ses troupiers de réenfiler leurs bottes de travail.
"C'est une équipe de premier plan qui mise sur un excellent duo de gardiens, a souligné l'entraîneur. Nous devons nous présenter là-bas dans un bon état d'esprit, prêts à livrer une guerre de tranchées."
Martin a dit qu'on ne doit pas s'attendre à un duel à caractère offensif parce que les Bruins viennent au deuxième rang de la ligue au chapitre des buts accordés et que le Canadien pointe en cinquième position.
Ce sera aussi une collision entre l'équipe qui présente le meilleur jeu de puissance de la LNH, à domicile, et celle qui affiche le meilleur taux d'efficacité en infériorité numérique, à l'étranger.
Les Bruins montrent un taux de réussite de 30 pour cent chez eux, en supériorité numérique. Après avoir muselé les meneurs de la ligue, mardi, le Canadien devra encore viser la perfection à Boston. Ou carrément éviter le banc des pénalités. En 28 situations d'infériorité sur la route jusqu'à maintenant, il n'a permis qu'un but - bon pour un taux de 96,4 pour cent.
À Boston, Martin n'aura pas le loisir d'opposer les trios qu'il veut à ceux des Bruins, comme il a pu le faire contre les Canucks au Centre Bell.
"Je ne suis pas un fervent, de toute façon, de la stratégie de jumeler les trios."