Geneviève Simard n'est pas satisfaite
Ski samedi, 16 déc. 2006. 11:15 mercredi, 5 mars 2025. 06:09
MONTRÉAL (Sportcom) － La skieuse britanno-colombienne Emily Brydon a fini parmi les 10 meilleures pour une deuxième journée consécutive à la Coupe du monde de Reiteralm en prenant le 10e rang du super-G samedi, alors que la Québécoise Geneviève Simard a terminé 17e en Autriche.
Neuvième du super combiné vendredi, Brydon a conclu l'épreuve à 1,31 seconde de la médaillée d'or, l'Autrichienne Renate Götschl, qui l'a emporté grâce à un temps de 1 minute et 17,91 secondes. Il s'agit d'un second triomphe en super-G pour Götschl cette saison, elle qui avait aussi gagné à Lake Louise.
L'Autrichienne Nicole Hosp (1:18,62), qui est au sommet du classement général de la Coupe du monde, s'est classée deuxième devant la Suisse Martina Schild (1:18,71), qui a ainsi empêché les Autrichiennes de monopoliser les sept premiers échelons.
Simard a de son côté accusé un retard de 1,95 seconde sur Götschl, notamment en raison d'un manque de vitesse dans la dernière portion du parcours.
«Je ne suis pas du tout satisfaite de ma journée, a-t-elle indiqué. J'ai bien skié le haut du parcours, mais j'ai fait des erreurs après. Je n'avais pas beaucoup de vitesse dans le plat à la fin. C'est une erreur qui m'a coûté cher... C'était une piste pas facile, pas très à pic, mais glacée et sombre. En ne voyant pas le sol, je n'étais pas à l'aise pour vraiment attaquer.»
«Les temps ont été quand même serrés, a poursuivi Simard. Si j'avais été juste une seconde plus rapide, je terminais cinquième. Ce n'était pas très long comme piste et les erreurs étaient coûteuses. »
Son 5e rang au super-G de Lake Louise combiné à son 17e échelon à Reiteralm, qui remplaçait l'épreuve annulée de Val d'Isère, lui procure la huitième place au classement de la discipline en Coupe du monde.
«À long terme, (le top 10) est un objectif important, a admis la skieuse de Val-Morin. Même si je n'ai pas skié comme j'en suis capable aujourd'hui (samedi), j'ai accumulé des points au classement qui vont m'aidée à la fin de la saison. J'aurais peut-être seulement aimé amasser plus de points.»
À son premier super-G de la saison, Brigitte Acton, de Mont-Tremblant, s'est classée 39e (1:20,87), accusant un retard de 2,96 secondes sur Götschl.
La Britanno-Colombienne Britt Janyk a fini 24e (1:20,13), l'Albertaine Sherry Lawrence 50e (1:22,09) et Shona Rubens, aussi de l'Alberta, 51e (1:22,21), tandis que l'Ontarienne Kelly Vanderbeek a abandonné.
Les skieuses de la Coupe du monde se rendront maintenant à Val d'Isère, en France, pour deux descentes et un slalom. La seconde descente remplacera l'épreuve annulée de Saint-Moritz, en Suisse, alors que le slalom prendra la place de celui de Megève, en France.
Simard affirme ne pas être dérangée par tous ces changements. «Ça ne m'affecte pas beaucoup parce que je suis sur la route de toute façon. La seule chose qui me déçoit un peu, c'est que je vais rentrer à la maison pour les Fêtes trois jours plus tard. J'ai décidé de revenir quand même quatre jours parce que c'est ma seule chance d'être à la maison avant le mois de mars.»
D'un autre point de vue, l'athlète de 26 ans trouve la situation alarmante. «Les gens qui ne croient pas au réchauffement de la planète ont la preuve que c'est vrai. Je pense que chacun d'entre nous doit changer sa façon de vivre parce que nous n'aurons plus de neige si nous continuons comme ça.»
Neuvième du super combiné vendredi, Brydon a conclu l'épreuve à 1,31 seconde de la médaillée d'or, l'Autrichienne Renate Götschl, qui l'a emporté grâce à un temps de 1 minute et 17,91 secondes. Il s'agit d'un second triomphe en super-G pour Götschl cette saison, elle qui avait aussi gagné à Lake Louise.
L'Autrichienne Nicole Hosp (1:18,62), qui est au sommet du classement général de la Coupe du monde, s'est classée deuxième devant la Suisse Martina Schild (1:18,71), qui a ainsi empêché les Autrichiennes de monopoliser les sept premiers échelons.
Simard a de son côté accusé un retard de 1,95 seconde sur Götschl, notamment en raison d'un manque de vitesse dans la dernière portion du parcours.
«Je ne suis pas du tout satisfaite de ma journée, a-t-elle indiqué. J'ai bien skié le haut du parcours, mais j'ai fait des erreurs après. Je n'avais pas beaucoup de vitesse dans le plat à la fin. C'est une erreur qui m'a coûté cher... C'était une piste pas facile, pas très à pic, mais glacée et sombre. En ne voyant pas le sol, je n'étais pas à l'aise pour vraiment attaquer.»
«Les temps ont été quand même serrés, a poursuivi Simard. Si j'avais été juste une seconde plus rapide, je terminais cinquième. Ce n'était pas très long comme piste et les erreurs étaient coûteuses. »
Son 5e rang au super-G de Lake Louise combiné à son 17e échelon à Reiteralm, qui remplaçait l'épreuve annulée de Val d'Isère, lui procure la huitième place au classement de la discipline en Coupe du monde.
«À long terme, (le top 10) est un objectif important, a admis la skieuse de Val-Morin. Même si je n'ai pas skié comme j'en suis capable aujourd'hui (samedi), j'ai accumulé des points au classement qui vont m'aidée à la fin de la saison. J'aurais peut-être seulement aimé amasser plus de points.»
À son premier super-G de la saison, Brigitte Acton, de Mont-Tremblant, s'est classée 39e (1:20,87), accusant un retard de 2,96 secondes sur Götschl.
La Britanno-Colombienne Britt Janyk a fini 24e (1:20,13), l'Albertaine Sherry Lawrence 50e (1:22,09) et Shona Rubens, aussi de l'Alberta, 51e (1:22,21), tandis que l'Ontarienne Kelly Vanderbeek a abandonné.
Les skieuses de la Coupe du monde se rendront maintenant à Val d'Isère, en France, pour deux descentes et un slalom. La seconde descente remplacera l'épreuve annulée de Saint-Moritz, en Suisse, alors que le slalom prendra la place de celui de Megève, en France.
Simard affirme ne pas être dérangée par tous ces changements. «Ça ne m'affecte pas beaucoup parce que je suis sur la route de toute façon. La seule chose qui me déçoit un peu, c'est que je vais rentrer à la maison pour les Fêtes trois jours plus tard. J'ai décidé de revenir quand même quatre jours parce que c'est ma seule chance d'être à la maison avant le mois de mars.»
D'un autre point de vue, l'athlète de 26 ans trouve la situation alarmante. «Les gens qui ne croient pas au réchauffement de la planète ont la preuve que c'est vrai. Je pense que chacun d'entre nous doit changer sa façon de vivre parce que nous n'aurons plus de neige si nous continuons comme ça.»
