Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies recommandent d'éviter les ressemblements de plus de 50 personnes pour les huit prochaines semaines, en lien avec la crise de la COVID-19.

Les CDC constituent la principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique.

L'informateur basket Adrian Wojnarowski, d'ESPN, rapporte que les propriétaires et dirigeants d'équipes NBA croient de plus en plus qu'un retour au jeu ne se fera pas avant la mi-juin, toujours sans spectateurs.

Même que la ligue nord-américaine tente d'établir un calendrier alternatif et regarde des dates et sites possibles jusqu'à la fin août.

Il va donc sans dire que cette nouvelle peut affecter la LNH et autres évènements sportifs.

Pendant cette suspension des activités, plusieurs organisations à travers le monde du sports ont mis sur pied des fonds d'aide pour leurs employés. Par exemple, le Canadien de Montréal a annoncé un plan pour aider les employés du Centre Bell et de la Place Bell.

D'ailleurs, notre analyste sports et affaires Ray Lalonde était de passage à l'émission Tout le Monde en Parle, à Radio-Canada. L'émission était d'enregistrée à huis clos pour la toute première fois.

Guy A. Lepage a questionné Ray Lalonde afin de savoir qui sont les plus grands perdants de cette paralysie totale dans l'industrie sportive.

« Les grands perdants à mon avis, sont ceux qui sont des employés lors des jours de matchs. Ceux qui font parfois un deuxième emploi pour arrondir les fins de mois. L'autre victime, ou l'autre groupe, ce sont les sports mineurs, parce qu'eux aussi sont affectés par cet arrêt complet. Tous ceux qui prévoyaient un jour terminer une carrière junior pour faire une bonne impression, et espérer un jour être repêchés, ou aller à l'université. Ça s'arrête sans aboutissements. »