Water-polo: Daniel Berthelette est congédié
Amateurs mardi, 18 déc. 2001. 16:27 vendredi, 1 nov. 2024. 20:17
(RDS) - En water-polo, l'entraîneur-chef, Daniel Berthelette, a été congédié à la suite du rapport de l'arbitre, Rachel Corbett, devant le comité d'administration de Water-Polo Canada. Quelques joueuses de l'équipe se plaignaient du harcèlement moral de Berthelette. Pour l'instant, on ne connaît pas encore qui sera son successeur.
Les filles de l'équipe recommenceront l'entraînement sous peu au Centre Claude-Robillard. L'équipe féminine avait terminé au 5e rang lors des jeux de Sydney.
Pour les joueuses qui avaient été exclues de la formation sous la gouverne de Berthelette, ce congédiement pourrait leur permettre de revenir au sein de l'équipe nationale.
"Je l'ai appris lundi soir et j'étais vraiment sous le choc. Évidemment, je suis contente que la Fédération ait réglé le problème. Sous le choc en premier, mais maintenant, je suis contente. La porte est maintenant ouverte", a indiqué Renée Sauriol. "Il y a possibilité de retour pour moi. Je ne sais pas si je vais le faire. J'ai l'intention de continuer à m'entraîner. J'aimerais participer aux championnats canadiens. Ensuite, pour l'équipe nationale, on verra... Une fois le nouvel entraîneur embauché, je n'aurai pas de gêne à montrer mon intérêt."
"Quel entraîneur va vouloir nous entraîner maintenant qu'il sait qu'il n'aura pas le choix de le faire selon nos désirs parce que les filles se sont plaintes de la façon dont il nous entraînait. J'espère qu'il va y avoir un entraîneur qui va encore vouloir de nous. J'ai parlé à un entraîneur qui m'a dit ne pas être intéressé parce qu'il aurait un couteau sous la gorge. À tout moment, ses décisions pourraient être remises en question", a déclaré Sandra Lizée.
Les filles de l'équipe recommenceront l'entraînement sous peu au Centre Claude-Robillard. L'équipe féminine avait terminé au 5e rang lors des jeux de Sydney.
Pour les joueuses qui avaient été exclues de la formation sous la gouverne de Berthelette, ce congédiement pourrait leur permettre de revenir au sein de l'équipe nationale.
"Je l'ai appris lundi soir et j'étais vraiment sous le choc. Évidemment, je suis contente que la Fédération ait réglé le problème. Sous le choc en premier, mais maintenant, je suis contente. La porte est maintenant ouverte", a indiqué Renée Sauriol. "Il y a possibilité de retour pour moi. Je ne sais pas si je vais le faire. J'ai l'intention de continuer à m'entraîner. J'aimerais participer aux championnats canadiens. Ensuite, pour l'équipe nationale, on verra... Une fois le nouvel entraîneur embauché, je n'aurai pas de gêne à montrer mon intérêt."
"Quel entraîneur va vouloir nous entraîner maintenant qu'il sait qu'il n'aura pas le choix de le faire selon nos désirs parce que les filles se sont plaintes de la façon dont il nous entraînait. J'espère qu'il va y avoir un entraîneur qui va encore vouloir de nous. J'ai parlé à un entraîneur qui m'a dit ne pas être intéressé parce qu'il aurait un couteau sous la gorge. À tout moment, ses décisions pourraient être remises en question", a déclaré Sandra Lizée.